Le Forum International de la Finance en Afrique Subsaharienne (FIFAS) s’est tenu du 15 au 17 Juin 2015, dans la Capitale ivoirienne, au Sofitel Abidjan Hôtel Ivoire. Le FIFAS a relevé le défi de la qualité. En effet, il a réuni sur la même plateforme Membres de Gouvernements, Directeurs Généraux et Financiers, illustres participants et étudiants. Tous venant d’Etats africains et européens ont apporté leur contribution pour « Créer un Modèle Financier Africain ».
Pour l’Edition 2015, il convient de noter que tous les modèles sont efficaces pour inspirer celui de l’Afrique ; il faut cependant les adapter aux réalités du continent africain. La formule retenue est : Copier/Ajuster et Coller. Autrement dit, s’inspirer d’autres modèles, accepter la différence et les rendre conformes à l’Afrique. L’un des enjeux capitaux était de favoriser une nouvelle génération de financiers capables de s’adapter aux standards de leurs Etats (africains) sans toutefois se fermer à la mondialisation.
Les différents participants se sont fait remarquer par la pertinence de leur propos, étayant leurs idées avec des exemples concrets mais faisaient surtout des propositions claires. Ils s’autorisaient à rêver un meilleur futur pour l’Afrique. La volonté d’aller de l’avant était perceptible dans l’attitude des différentes parties. Panélistes et Participants ont partagé leur différentes expériences et points de vue. Les discussions donnaient lieu parfois à des débats contradictoires, c’était justement là le but du Forum.
La plus grande réussite du FIFAS est d’avoir réuni les grands décideurs africains du monde de la Finance ; ce qui est un atout considérable quant à la portée des décisions prises. D’un commun accord, les participants ont laissé libre cours à plusieurs propositions pour soit améliorer le taux de bancarisation, soit mettre en place des mécanismes favorables aux financements des PME. Il a été question aussi d’encourager les Etats africains à devenir des moteurs qui boostent l’entreprise privée. Toutes les résolutions et grandes lignes seront remis aux autorités compétentes. Le FIFAS s’est achevé sur une note d’Espoir. L’Afrique a tout à sa portée pour amorcer son développement économique.
Pour l’Edition 2015, il convient de noter que tous les modèles sont efficaces pour inspirer celui de l’Afrique ; il faut cependant les adapter aux réalités du continent africain. La formule retenue est : Copier/Ajuster et Coller. Autrement dit, s’inspirer d’autres modèles, accepter la différence et les rendre conformes à l’Afrique. L’un des enjeux capitaux était de favoriser une nouvelle génération de financiers capables de s’adapter aux standards de leurs Etats (africains) sans toutefois se fermer à la mondialisation.
Les différents participants se sont fait remarquer par la pertinence de leur propos, étayant leurs idées avec des exemples concrets mais faisaient surtout des propositions claires. Ils s’autorisaient à rêver un meilleur futur pour l’Afrique. La volonté d’aller de l’avant était perceptible dans l’attitude des différentes parties. Panélistes et Participants ont partagé leur différentes expériences et points de vue. Les discussions donnaient lieu parfois à des débats contradictoires, c’était justement là le but du Forum.
La plus grande réussite du FIFAS est d’avoir réuni les grands décideurs africains du monde de la Finance ; ce qui est un atout considérable quant à la portée des décisions prises. D’un commun accord, les participants ont laissé libre cours à plusieurs propositions pour soit améliorer le taux de bancarisation, soit mettre en place des mécanismes favorables aux financements des PME. Il a été question aussi d’encourager les Etats africains à devenir des moteurs qui boostent l’entreprise privée. Toutes les résolutions et grandes lignes seront remis aux autorités compétentes. Le FIFAS s’est achevé sur une note d’Espoir. L’Afrique a tout à sa portée pour amorcer son développement économique.
