Après l'adoption d'une loi antiterroriste, vendredi, par les députés ivoiriens, certaines associations des droits de l'homme s'interrogent sur de possibles dérives liberticides que pourrait entraîner ce texte. Une loi votée alors qu'en début de semaine le pays a été menacé par le groupe Ansar Dine et que deux attaques ont eu lieu au sud du Mali, tout près de sa frontière.
Trois jours seulement après les menaces du groupe Ansar Dine contre la Côte d'Ivoire, c'est à l'unanimité que les députés ont voté cette loi antiterroriste. Perquisitions de jour comme de nuit, interceptions de correspondances, garde à vue prolongée de deux fois 96 heures pour tout suspect d'actes terroristes... La Côte d'Ivoire renforce ainsi son arsenal juridique. Des peines de dix à vingt ans... suite de l'article sur RFI
Trois jours seulement après les menaces du groupe Ansar Dine contre la Côte d'Ivoire, c'est à l'unanimité que les députés ont voté cette loi antiterroriste. Perquisitions de jour comme de nuit, interceptions de correspondances, garde à vue prolongée de deux fois 96 heures pour tout suspect d'actes terroristes... La Côte d'Ivoire renforce ainsi son arsenal juridique. Des peines de dix à vingt ans... suite de l'article sur RFI