Yamoussoukro - Un séminaire régional visant l’intégration des établissements de formation agricole (EFA) dans les plans d’investissements agricoles du programme détaillé de développement de l’agriculture africaine (PDDAA) s’est ouvert mercredi à l’institut national polytechnique Houphouët-Boigny (INP-HB) de Yamoussoukro.
Le directeur de l’école supérieure d’Agriculture de l’INP-HB, Dr Siaka Koné a fait remarquer, à l’ouverture des travaux, que de plus en plus de nombreux investissements sont injectés au niveau de l’agriculture tout en mettant de côté la formation agricole.
" Alors que la connaissance et le savoir sont des composantes extrêmement importantes au même titre qu’un intrant agricole ", a-t-il relevé.
L’atelier de Yamoussoukro sera l’occasion pour les parties prenant du système des EFA et des experts présents d’élaborer d’un commun accord un plaidoyer à travers un plan stratégique très clair à l’échelle continentale à soumettre aux États afin d’obtenir des financements conséquents de sorte à booster l’agriculture au niveau des États africains.
" Ces objectifs, une fois atteints permettront de faire un saut qualitatif et d’adapter les programmes de formation afin de produire les compétences en capital humain nécessaire pour la transformation de l’agriculture, et même des autres domaines de l’économie de nombreux pays africains ", a ajouté pour sa part le secrétaire général de l’association des universités africaines le professeur Ehile Ettien.
Initié par l’agence du Nouveau Partenariat pour le développement de l’Afrique (NEPAD) avec l’appui de la communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) et de l’Union économique monétaire Ouest africain (UEMOA), le séminaire de Yamoussoukro a pour thème ‘’ l’intégration des EFA dans le plan d’investissement agricole du PDDAA et les objectifs de la déclaration du sommet de l’Union africaine à Malabo.
Le séminaire réunit 180 participants, des instructeurs et chercheurs dans le domaine agricole en provenance de 15 pays d’Afrique de l’Ouest et centrale, de la France et de la Belgique qui auront à débattre, jusqu’à samedi, des missions des écoles de formation agricole, mais aussi et surtout de faire le suivi des déclarations des chefs d’États au sommet de Malabo en 2014.
nam/ask
Le directeur de l’école supérieure d’Agriculture de l’INP-HB, Dr Siaka Koné a fait remarquer, à l’ouverture des travaux, que de plus en plus de nombreux investissements sont injectés au niveau de l’agriculture tout en mettant de côté la formation agricole.
" Alors que la connaissance et le savoir sont des composantes extrêmement importantes au même titre qu’un intrant agricole ", a-t-il relevé.
L’atelier de Yamoussoukro sera l’occasion pour les parties prenant du système des EFA et des experts présents d’élaborer d’un commun accord un plaidoyer à travers un plan stratégique très clair à l’échelle continentale à soumettre aux États afin d’obtenir des financements conséquents de sorte à booster l’agriculture au niveau des États africains.
" Ces objectifs, une fois atteints permettront de faire un saut qualitatif et d’adapter les programmes de formation afin de produire les compétences en capital humain nécessaire pour la transformation de l’agriculture, et même des autres domaines de l’économie de nombreux pays africains ", a ajouté pour sa part le secrétaire général de l’association des universités africaines le professeur Ehile Ettien.
Initié par l’agence du Nouveau Partenariat pour le développement de l’Afrique (NEPAD) avec l’appui de la communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) et de l’Union économique monétaire Ouest africain (UEMOA), le séminaire de Yamoussoukro a pour thème ‘’ l’intégration des EFA dans le plan d’investissement agricole du PDDAA et les objectifs de la déclaration du sommet de l’Union africaine à Malabo.
Le séminaire réunit 180 participants, des instructeurs et chercheurs dans le domaine agricole en provenance de 15 pays d’Afrique de l’Ouest et centrale, de la France et de la Belgique qui auront à débattre, jusqu’à samedi, des missions des écoles de formation agricole, mais aussi et surtout de faire le suivi des déclarations des chefs d’États au sommet de Malabo en 2014.
nam/ask
