Bouaké - Les acteurs de la filière coton ont adopté, à Bouaké, un cahier de charges révisé pour le Conseil agricole (le dispositif chargé de l’encadrement et du conseil des paysans) dans le but de booster le rendement actuel de cette culture pour améliorer la productivité des exploitations et par ricochet le revenu des producteurs.
L`accent est mis sur plusieurs innovations à apporter pour l’atteinte des objectifs, entre autres, les champs écoles pour la formation des paysans, l’utilisation des radios de proximité pour la sensibilisation, une nouvelle technique de fertilisation du sol dite du facteur N-NH4, l’utilisation de la fumure organique, le suivi-évaluation renforcé et l’expérimentation des OGM (Organisme génétiquement modifié).
L’Inter-coton et les partenaires financiers, notamment, l’Union Européenne et dans le cadre du Projet d’appui du secteur agricole de Côte d’Ivoire (PSAC), l’Agence française de développement ainsi que le groupe Banque mondiale, ont souhaité l’introduction de ces technologies expérimentées avec succès dans d’autre filières, en vue d’améliorer le rentabilit&e acute; du coton.
En 2013/2014 le rendement est évalué à 1133 Kg à l’hectare. Au terme de la campagne 2014/2015, il est estimé 1070 Kg. Les innovations visent à porter le rendement à au moins 1200kg par hectare à la prochaine campagne.
Le président de l’Inter-coton, Tuo Lacina, s’est réjoui de la disposition des acteurs à se remettre en cause et l’ambiance qui a prévalue à l’adoption de ce cahier de charge consensuel.
Relevant que l’atteindre de la productivité prend en compte plusieurs facteurs, il a annoncé que les sensibilisations seront menées au moment opportun, pour permettre à chaque acteur d’appliquer les points des innovations le concernant.
Le coordonnateur du Projet d’appui du secteur agricole de Côte d’Ivoire (PSAC), Agnéro Amari R aphael, est confiant que le rendement va s’améliorer parce que tous les acteurs sont motivés et ont adopté le cahier innové à l’unanimité.
Le président de la fédération des producteurs de coton de Côte d’Ivoire (FPC-CI), Yéo Largaton, estime, pour sa part, que «cet atelier est le bienvenu». Il est persuadé que l’amélioration du rendement passe par l’offre de semences de qualité, le renforcement de l’encadrement des conseillers agricoles et la discipline des paysans dans respect des itinéraires techniques de la production du coton.
(AIP)
nbf/akn/tm
L`accent est mis sur plusieurs innovations à apporter pour l’atteinte des objectifs, entre autres, les champs écoles pour la formation des paysans, l’utilisation des radios de proximité pour la sensibilisation, une nouvelle technique de fertilisation du sol dite du facteur N-NH4, l’utilisation de la fumure organique, le suivi-évaluation renforcé et l’expérimentation des OGM (Organisme génétiquement modifié).
L’Inter-coton et les partenaires financiers, notamment, l’Union Européenne et dans le cadre du Projet d’appui du secteur agricole de Côte d’Ivoire (PSAC), l’Agence française de développement ainsi que le groupe Banque mondiale, ont souhaité l’introduction de ces technologies expérimentées avec succès dans d’autre filières, en vue d’améliorer le rentabilit&e acute; du coton.
En 2013/2014 le rendement est évalué à 1133 Kg à l’hectare. Au terme de la campagne 2014/2015, il est estimé 1070 Kg. Les innovations visent à porter le rendement à au moins 1200kg par hectare à la prochaine campagne.
Le président de l’Inter-coton, Tuo Lacina, s’est réjoui de la disposition des acteurs à se remettre en cause et l’ambiance qui a prévalue à l’adoption de ce cahier de charge consensuel.
Relevant que l’atteindre de la productivité prend en compte plusieurs facteurs, il a annoncé que les sensibilisations seront menées au moment opportun, pour permettre à chaque acteur d’appliquer les points des innovations le concernant.
Le coordonnateur du Projet d’appui du secteur agricole de Côte d’Ivoire (PSAC), Agnéro Amari R aphael, est confiant que le rendement va s’améliorer parce que tous les acteurs sont motivés et ont adopté le cahier innové à l’unanimité.
Le président de la fédération des producteurs de coton de Côte d’Ivoire (FPC-CI), Yéo Largaton, estime, pour sa part, que «cet atelier est le bienvenu». Il est persuadé que l’amélioration du rendement passe par l’offre de semences de qualité, le renforcement de l’encadrement des conseillers agricoles et la discipline des paysans dans respect des itinéraires techniques de la production du coton.
(AIP)
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