Abidjan (Côte d'Ivoire) - Les députés membres de la Commission des affaires économiques et financières de l’Assemblée nationale ivoirienne ont adopté, vendredi, à Abidjan la loi de finance rectificative, faisant passer le budget de l’Etat en 2015 de 5 014,3 à 5 196 milliards de FCFA, soit une augmentation de 188,5 milliards de FCFA.
Après l'exposé des motifs du ministre auprès du Premier ministre chargé du budget, Abdourahmane Cissé, cette loi a été adoptée à l'unanimité par les 25 députés présents sur les 41 que compte cette commission.
« Le budget 2015, élaboré dans un contexte socio-économique favorable était bâti sur une hypothèse de croissance de 10% en liaison avec le regain d'activité attendu essentiellement dans le secteur secondaire et tertiaire », a déclaré le ministre Cissé, estimant que « la bonne orientation de certains indicateurs économiques et financiers observée au terme du premier semestre, commande un ajustement des prévisions budgétaire ».
Selon lui, les précisions de recettes ont été ajustées pour prendre en compte l'impact de différents facteurs, à savoir l'évolution favorable de la taxation des produits pétroliers et du volume de cacao soumis à la formalité d'enregistrement ainsi que l'ajustement à la baisse des ressources perçues à l'importation sur les marchandises générales au regard des réalisations de fin 2014.
S'agissant des recettes non fiscales, les prévisions connaissent une augmentation significative suite à l'encaissement de recettes exceptionnelles liées notamment à la privatisation de la Société ivoirienne de banque (SIB) et au paiement des arriérés de dividendes de la Société nationale d'opérations pétrolière de Côte d'Ivoire (PETROCI).
LS
Après l'exposé des motifs du ministre auprès du Premier ministre chargé du budget, Abdourahmane Cissé, cette loi a été adoptée à l'unanimité par les 25 députés présents sur les 41 que compte cette commission.
« Le budget 2015, élaboré dans un contexte socio-économique favorable était bâti sur une hypothèse de croissance de 10% en liaison avec le regain d'activité attendu essentiellement dans le secteur secondaire et tertiaire », a déclaré le ministre Cissé, estimant que « la bonne orientation de certains indicateurs économiques et financiers observée au terme du premier semestre, commande un ajustement des prévisions budgétaire ».
Selon lui, les précisions de recettes ont été ajustées pour prendre en compte l'impact de différents facteurs, à savoir l'évolution favorable de la taxation des produits pétroliers et du volume de cacao soumis à la formalité d'enregistrement ainsi que l'ajustement à la baisse des ressources perçues à l'importation sur les marchandises générales au regard des réalisations de fin 2014.
S'agissant des recettes non fiscales, les prévisions connaissent une augmentation significative suite à l'encaissement de recettes exceptionnelles liées notamment à la privatisation de la Société ivoirienne de banque (SIB) et au paiement des arriérés de dividendes de la Société nationale d'opérations pétrolière de Côte d'Ivoire (PETROCI).
LS