Le ministre ivoirien auprès du président de la République, chargé de la promotion de la jeunesse et de l'emploi des jeunes, Sidi Touré a invité , samedi, à Bouaké (379 Km au Nord d'Abidjan), les hommes politiques à ''laisser la jeunesse hors des batailles politiques''.
Le ministre Sidi Touré qui s'exprimait lors d'une cérémonie de remise de chèques aux bénéficiaires de la région de Gbêkê, dans le cadre de l'initiative "Agir pour les jeunes" a profité de l'occasion pour se prononcer sur les récentes manifestations de rue qui ont secoué quelques régions de la Côte d'Ivoire.
''Laisser la jeunesse hors des batailles politiques, laisser les jeunes en paix '' a-t-il lancé en direction des hommes politiques ivoiriens. "Les jeunes ne demandent pas beaucoup de choses" a poursuivi M. Touré, estimant que "tout ce qu'ils veulent c'est la formation, c'est-à-dire les écoles (...) les emplois, c'est-à-dire de l'argent pour pouvoir se prendre en charge (...) et la dignité".
"Nous ne pouvons plus accepter qu'une goûte de sang d'un ivoirien coule sur sa terre" a-t-il prévenu, invitant la jeunesse ivoirienne à "ne plus manifester violemment dans la rue".
"Apporter-leur, votre programme, dites-leur, comment vous allez faire pour leur trouver du travail. C'est de ça qu'ils ont besoin et de rien d'autres" a insisté M. à l'endroit des politiciens ivoiriens.
CK/ls/APA
Le ministre Sidi Touré qui s'exprimait lors d'une cérémonie de remise de chèques aux bénéficiaires de la région de Gbêkê, dans le cadre de l'initiative "Agir pour les jeunes" a profité de l'occasion pour se prononcer sur les récentes manifestations de rue qui ont secoué quelques régions de la Côte d'Ivoire.
''Laisser la jeunesse hors des batailles politiques, laisser les jeunes en paix '' a-t-il lancé en direction des hommes politiques ivoiriens. "Les jeunes ne demandent pas beaucoup de choses" a poursuivi M. Touré, estimant que "tout ce qu'ils veulent c'est la formation, c'est-à-dire les écoles (...) les emplois, c'est-à-dire de l'argent pour pouvoir se prendre en charge (...) et la dignité".
"Nous ne pouvons plus accepter qu'une goûte de sang d'un ivoirien coule sur sa terre" a-t-il prévenu, invitant la jeunesse ivoirienne à "ne plus manifester violemment dans la rue".
"Apporter-leur, votre programme, dites-leur, comment vous allez faire pour leur trouver du travail. C'est de ça qu'ils ont besoin et de rien d'autres" a insisté M. à l'endroit des politiciens ivoiriens.
CK/ls/APA