Abidjan - Le président du Conseil constitutionnel, Koné Mamadou, a affirmé mardi, son soutien « ferme » au président réélu du scrutin présidentiel du 25 octobre, Alassane Ouattara, dans sa volonté de soumettre à référendum, un projet de révision de la constitution de Côte d’Ivoire, dont des dispositions son t jugées "confligènes".
Lors de la cérémonie de prestation de serment, au Palais présidentiel d’Abidjan-Plateau, M. Koné a indiqué que la Côte d’Ivoire est « mal entrée dans sa deuxième République » avec l’actuelle constitution promulguée le 1er août 2000 et dès lors, des ajustements s’avèrent nécessaires pour « éviter d’autres bégaiements de notre démocratie » qui consacrera « la division des Ivoiriens ainsi que le tango mortel de deux conjonctions (et/ou) qui n’auront jamais failli à leur vocation de conjonction de coordination ».
Le Conseil constitutionnel demande au Président Ouattara de tenir compte des erreurs du passé afin que la révision constitutionn elle annoncée se fasse dans « les meilleures conditions de transparence » au lieu de l’asseoir « sur un si grand quiproquo » de façon que, lors du référendum, « le pauvre ivoirien sache avec précision le contrat social qui lui est proposé ».
L’actuelle constitution de Côte d’Ivoire, en ses articles, stipule que le candidat à la présidence de la République est élu pour cinq ans. Il doit être ivoirien d’origine, né de père et de mère eux-mêmes d’origine. Il ne doit jamais avoir renoncé à la nationalité ivoirienne, ni s’être prévalu d’une autre nationalité, et avoir résidé dans le pays e façon continue pendant cinq années précédant la date des élections, r&eac ute;sume-t-on.
fmo/tm
Lors de la cérémonie de prestation de serment, au Palais présidentiel d’Abidjan-Plateau, M. Koné a indiqué que la Côte d’Ivoire est « mal entrée dans sa deuxième République » avec l’actuelle constitution promulguée le 1er août 2000 et dès lors, des ajustements s’avèrent nécessaires pour « éviter d’autres bégaiements de notre démocratie » qui consacrera « la division des Ivoiriens ainsi que le tango mortel de deux conjonctions (et/ou) qui n’auront jamais failli à leur vocation de conjonction de coordination ».
Le Conseil constitutionnel demande au Président Ouattara de tenir compte des erreurs du passé afin que la révision constitutionn elle annoncée se fasse dans « les meilleures conditions de transparence » au lieu de l’asseoir « sur un si grand quiproquo » de façon que, lors du référendum, « le pauvre ivoirien sache avec précision le contrat social qui lui est proposé ».
L’actuelle constitution de Côte d’Ivoire, en ses articles, stipule que le candidat à la présidence de la République est élu pour cinq ans. Il doit être ivoirien d’origine, né de père et de mère eux-mêmes d’origine. Il ne doit jamais avoir renoncé à la nationalité ivoirienne, ni s’être prévalu d’une autre nationalité, et avoir résidé dans le pays e façon continue pendant cinq années précédant la date des élections, r&eac ute;sume-t-on.
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