Le Rassemblement des républicains (RDR), le parti du chef de l’Etat ivoirien Alassane Ouattara, a déclaré lundi n’avoir “pas de commentaires à faire’’ sur l’affaire des écoutes téléphoniques mettant en cause le président de l’assemblée nationale Guillaume Soro, et qui “s’apparente à des rumeurs’’
“Pour l’heure, le RDR ne se prononce pas sur ce qui s’apparente à des rumeurs. Tant que ça reste au stade des rumeurs, nous n’avons pas des commentaires à faire’’, a tranché son porte-parole, Joel N’guessan, joint par téléphone par ALERTE INFO.
Un enregistrement diffusé sur internet le 12 novembre et présenté comme une conversation entre M. Soro et Djibrill Bassolé, l’ancien ministre des Affaires étrangères de Blaise Compaoré, discutant des moyens d'éviter l'échec du putsch de Gilbert Diendéré au Burkina Faso, n’en finit plus d’alimenter les débats sur les réseaux sociaux et dans la presse en Côte d’Ivoire.
Après avoir qualifié dès les premières heures, cette bande sonore de "grossier" et de “Fake’’ (faux en français), M. Soro a affirmé quelques jours après en connaitre les auteurs sans toutefois les nommer, au cours d’une rencontre avec des chefs traditionnels.
M. Soro a été élu en 2011 député de Ferkessédougou (nord ivoirien) sous la bannière du RDR avant d’être porté à la présidence de l’assemblée nationale.
Mais depuis le début de l’affaire des écoutes téléphoniques, ni son parti, ni le gouvernement ne s’étaient encore officiellement prononcés sur la question.
Contacté lundi vers 13H00 (GMT et locales) par ALERTE INFO, le porte-parole du gouvernement, Bruno Koné, n’avait pas encore répondu jusqu’à 15H00.
SKO
“Pour l’heure, le RDR ne se prononce pas sur ce qui s’apparente à des rumeurs. Tant que ça reste au stade des rumeurs, nous n’avons pas des commentaires à faire’’, a tranché son porte-parole, Joel N’guessan, joint par téléphone par ALERTE INFO.
Un enregistrement diffusé sur internet le 12 novembre et présenté comme une conversation entre M. Soro et Djibrill Bassolé, l’ancien ministre des Affaires étrangères de Blaise Compaoré, discutant des moyens d'éviter l'échec du putsch de Gilbert Diendéré au Burkina Faso, n’en finit plus d’alimenter les débats sur les réseaux sociaux et dans la presse en Côte d’Ivoire.
Après avoir qualifié dès les premières heures, cette bande sonore de "grossier" et de “Fake’’ (faux en français), M. Soro a affirmé quelques jours après en connaitre les auteurs sans toutefois les nommer, au cours d’une rencontre avec des chefs traditionnels.
M. Soro a été élu en 2011 député de Ferkessédougou (nord ivoirien) sous la bannière du RDR avant d’être porté à la présidence de l’assemblée nationale.
Mais depuis le début de l’affaire des écoutes téléphoniques, ni son parti, ni le gouvernement ne s’étaient encore officiellement prononcés sur la question.
Contacté lundi vers 13H00 (GMT et locales) par ALERTE INFO, le porte-parole du gouvernement, Bruno Koné, n’avait pas encore répondu jusqu’à 15H00.
SKO