La troisième mission de supervision du Projet d’appui au Secteur Agricole en Côte d’Ivoire (PSAC), a fermé ses portes le mardi 1er décembre 2015.
Après 2 semaines de séances de travail techniques et de visites des réalisations sur le terrain, les Partenaires Techniques Financiers et les acteurs du Projet, se sont retrouvés au 20ème étage de l’immeuble SCIAM, au Plateau, pour faire le bilan de la mission.
A cette occasion, M. Nabil CHAHERLI, Chef de Projets à la Banque Mondiale, a présenté les acquis du PSAC au niveau des cinq chaines de valeur que sont le Cacao, l’Hévéa, le Palmier à huile, le Coton et l’Anacarde.
Les principales réalisations enregistrées au titre de la période 2014-2015 concernent la réhabilitation des pistes rurales d’évacuation des produits agricoles, la distribution des semences améliorées pour le renouvellement des vergers du cacao, du palmier à huile, et l’hévéa… et la réalisation d’infrastructures socio-économiques de base au bénéfice des populations.
Au total, ce sont 9 160 ha de plantations (cacao, hévéa, palmier) qui ont été réalisées à partir de semences améliorées distribuées par le Projet. Ce qui annonce une augmentation de la production de ces produits agricoles les années à venir. On note également la vulgarisation de bonnes pratiques agricoles à l’endroit de près de 39 000 producteurs de cacao et d’anacarde.
La qualité des pistes rurales étant un facteur déterminant dans l’évacuation des produits agricoles, le PSAC a permis de réhabiliter entièrement, au titre du programme 2013, 153 km de pistes dans la région du Sud-Comoé pour les filières Palmier et Hévéa. Et près de 650 km en cours de réhabilitation dans les autres régions de concentration des activités du Projet (Nawa, Poro, Tchologo, Bagoué, Béré, gbêkê, Hambol, Gontougo).
Au plan environnemental et social, la mise en œuvre des activités du projet est encadrée par les politiques de la Banque Mondiale, la législation et règlementation ivoirienne en matière de protection de l’Environnement. La gestion de la sauvegarde de l’écosystème pendant les travaux, connait une nette amélioration.
Au titre des infrastructures socio-économiques de base, le PSAC a permis à des milliers de personnes en zone rural d’avoir accès à de l’eau potable, grâce à la réalisation de 27 pompes villageoises dans la région de la Nawa
Sur l’ensemble des zones d’exécution du projet, ce sont plus de 32 000 bénéficiaires qui ont vu leurs situations s’améliorer du fait des réalisations du Projet.
Au niveau institutionnel, grâce aux appuis du Projet, l’AIPH et INTERCOTON ont été officiellement reconnus par le Gouvernement comme des organisations interprofessionnelles crédibles et conformes à l’ordonnance 473-2011 du 21 décembre 2011.
Les principales recommandations faites à la suite de cette mission de supervision concernent essentiellement le relèvement du niveau de décaissement destiné au règlement des prestations effectuées, et l’amélioration de la communication entre les acteurs opérationnels.
Le Coordonnateur du Projet, M. AGNEROH A. Raphaël et chacune des Agences d’exécution ont pris l’engagement, chacun dans son domaine de compétence, de tout mettre en œuvre, pour lever les points de blocage identifiés afin d’atteindre les objectifs du projet.
Notons que le Projet d’appui au Secteur Agricole a pour objectifs, l’amélioration de l’accès des petits exploitants agricoles aux technologies et aux marchés, et l’amélioration de la gouvernance des cinq chaines de valeur sus-citées. Il bénéficie d’un financement de 75,4milliards de l’État, du Groupe de la Banque Mondiale, de la France à travers le C2D, et des cinq(5) filières agricole ciblées.
Source : SCOM PSAC
Après 2 semaines de séances de travail techniques et de visites des réalisations sur le terrain, les Partenaires Techniques Financiers et les acteurs du Projet, se sont retrouvés au 20ème étage de l’immeuble SCIAM, au Plateau, pour faire le bilan de la mission.
A cette occasion, M. Nabil CHAHERLI, Chef de Projets à la Banque Mondiale, a présenté les acquis du PSAC au niveau des cinq chaines de valeur que sont le Cacao, l’Hévéa, le Palmier à huile, le Coton et l’Anacarde.
Les principales réalisations enregistrées au titre de la période 2014-2015 concernent la réhabilitation des pistes rurales d’évacuation des produits agricoles, la distribution des semences améliorées pour le renouvellement des vergers du cacao, du palmier à huile, et l’hévéa… et la réalisation d’infrastructures socio-économiques de base au bénéfice des populations.
Au total, ce sont 9 160 ha de plantations (cacao, hévéa, palmier) qui ont été réalisées à partir de semences améliorées distribuées par le Projet. Ce qui annonce une augmentation de la production de ces produits agricoles les années à venir. On note également la vulgarisation de bonnes pratiques agricoles à l’endroit de près de 39 000 producteurs de cacao et d’anacarde.
La qualité des pistes rurales étant un facteur déterminant dans l’évacuation des produits agricoles, le PSAC a permis de réhabiliter entièrement, au titre du programme 2013, 153 km de pistes dans la région du Sud-Comoé pour les filières Palmier et Hévéa. Et près de 650 km en cours de réhabilitation dans les autres régions de concentration des activités du Projet (Nawa, Poro, Tchologo, Bagoué, Béré, gbêkê, Hambol, Gontougo).
Au plan environnemental et social, la mise en œuvre des activités du projet est encadrée par les politiques de la Banque Mondiale, la législation et règlementation ivoirienne en matière de protection de l’Environnement. La gestion de la sauvegarde de l’écosystème pendant les travaux, connait une nette amélioration.
Au titre des infrastructures socio-économiques de base, le PSAC a permis à des milliers de personnes en zone rural d’avoir accès à de l’eau potable, grâce à la réalisation de 27 pompes villageoises dans la région de la Nawa
Sur l’ensemble des zones d’exécution du projet, ce sont plus de 32 000 bénéficiaires qui ont vu leurs situations s’améliorer du fait des réalisations du Projet.
Au niveau institutionnel, grâce aux appuis du Projet, l’AIPH et INTERCOTON ont été officiellement reconnus par le Gouvernement comme des organisations interprofessionnelles crédibles et conformes à l’ordonnance 473-2011 du 21 décembre 2011.
Les principales recommandations faites à la suite de cette mission de supervision concernent essentiellement le relèvement du niveau de décaissement destiné au règlement des prestations effectuées, et l’amélioration de la communication entre les acteurs opérationnels.
Le Coordonnateur du Projet, M. AGNEROH A. Raphaël et chacune des Agences d’exécution ont pris l’engagement, chacun dans son domaine de compétence, de tout mettre en œuvre, pour lever les points de blocage identifiés afin d’atteindre les objectifs du projet.
Notons que le Projet d’appui au Secteur Agricole a pour objectifs, l’amélioration de l’accès des petits exploitants agricoles aux technologies et aux marchés, et l’amélioration de la gouvernance des cinq chaines de valeur sus-citées. Il bénéficie d’un financement de 75,4milliards de l’État, du Groupe de la Banque Mondiale, de la France à travers le C2D, et des cinq(5) filières agricole ciblées.
Source : SCOM PSAC