Abidjan - La deuxième édition de la Conférence internationale sur la certification des produits agricoles (ICC 2015) a démarré, mardi, à Abidjan, en présence du directeur général des productions et de la sécurité alimentaire, Soumaila Kouassi Bredoumy, représentant le ministre de l’Agriculture, de la marraine, Mariam Dao Gabala, de nombreux experts, producteurs et consommateurs.
Pour le représentant le ministre de l’Agriculture, Soumaila Kouassi Bredoumy, cette conference sur la certification des produits agricoles notamment le cacao, le café, les agrumes, les fruits, et même les cultures vivrières est la bienvenue, car " notre agriculture doit s’adapter aux grandes mutations de nos sociétés". Il a dit attendre, au terme des travaux, un plan d’action qui devra "remettre notre processus de production agricole en conformité avec les exigences de la certification dont les effets induits améliorent les revenus et les conditions sociales des producteurs".
Pour sa part la marraine, Mariam Dao Gabala a affirmé que l’agriculture est confrontée à une nouvelle demande sociétale de plus en plus forte de produits sains de haute qualité pour une meilleure sécurité alimentaire. Aussi, félicitant "K’Origine" pour l’organisation de ICC 2015, elle a indiqué que cette manifestation va attirer l’attention et faire prendre conscience des enjeux de la certification des produits agricoles qui "s’avère un moyen essentiel d’accéder au marché et de résoudre les problèmes environnementaux liés à la production".
ICC va s’achever, vendredi. Il est destiné à offrir aux spécialistes et experts une plateforme de communication et d’échanges qui leur permettra de partager et confronter les expériences et les savoir-faire sur la recherche de la qualité des produits agricoles par la certification et son impact économique et commercial. Cette édition d’ICC enregistre plusieurs exposants venus de plusieurs pays, dont le Gabon, les Pays-Bas et le Mali.
ik/ask
Pour le représentant le ministre de l’Agriculture, Soumaila Kouassi Bredoumy, cette conference sur la certification des produits agricoles notamment le cacao, le café, les agrumes, les fruits, et même les cultures vivrières est la bienvenue, car " notre agriculture doit s’adapter aux grandes mutations de nos sociétés". Il a dit attendre, au terme des travaux, un plan d’action qui devra "remettre notre processus de production agricole en conformité avec les exigences de la certification dont les effets induits améliorent les revenus et les conditions sociales des producteurs".
Pour sa part la marraine, Mariam Dao Gabala a affirmé que l’agriculture est confrontée à une nouvelle demande sociétale de plus en plus forte de produits sains de haute qualité pour une meilleure sécurité alimentaire. Aussi, félicitant "K’Origine" pour l’organisation de ICC 2015, elle a indiqué que cette manifestation va attirer l’attention et faire prendre conscience des enjeux de la certification des produits agricoles qui "s’avère un moyen essentiel d’accéder au marché et de résoudre les problèmes environnementaux liés à la production".
ICC va s’achever, vendredi. Il est destiné à offrir aux spécialistes et experts une plateforme de communication et d’échanges qui leur permettra de partager et confronter les expériences et les savoir-faire sur la recherche de la qualité des produits agricoles par la certification et son impact économique et commercial. Cette édition d’ICC enregistre plusieurs exposants venus de plusieurs pays, dont le Gabon, les Pays-Bas et le Mali.
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