Abidjan (Côte d’Ivoire) - Le Président de l’Assemblée nationale ivoirienne, Guillaume Kigbafori Soro a déclaré, vendredi, à Abidjan avoir été "blessé et meurtri" par des campagnes de "dénigrement et de calomnie" jamais "orchestrées" contre sa personne.
M. Soro qui s’exprimait lors de la clôture de la deuxième session ordinaire 2015 du parlement, faisait référence à l’affaire de la juge française Khéris et des écoutes téléphoniques.
« Sur l’affaire des pseudo-écoutes téléphoniques. Que de chimères ! J’ai longuement évoqué le sujet avec le Président de la République Son Excellence Alassane Ouattara à Paris et ici même à Abidjan(…)Il a décidé de traiter personnellement, cette affaire avec les nouvelles Autorités burkinabè élues.» a-t-il révélé.
« J’ai été choqué au plus haut point d’être victime de l’une des pires campagnes de dénigrement et de calomnie jamais orchestrées contre ma personne et mon combat politique. J’ai été blessé et meurtri », a regretté, Guillaume Soro.
Le chef du parlement ivoirien a salué « l’excellence des relations entre le Burkina Faso et la Côte d’Ivoire ». Il en a profité pour saluer «ce vaillant peuple, ses autorités et toute sa classe politique pour la tenue d’élections sans la moindre effusion de sang », le 29 novembre dernier.
« Le Burkina Faso, vous le savez tous, est un pays fort particulier pour moi. C’est le pays qui m’a accueilli aux heures les plus graves de mon existence en m’offrant l’exil », a par ailleurs rappelé Guillaume Soro.
Un enregistrement sonore présenté comme celui d’une conversation téléphonique entre le chef du parlement ivoirien, Guillaume Soro et l’ex ministre du Burkina Faso des affaires étrangères, Djibrill Bassolé a circulé sur les réseaux sociaux dans le mois de novembre avec pour sujet principal le renversement du régime de transition au Burkina Faso
SY/ls/APA
M. Soro qui s’exprimait lors de la clôture de la deuxième session ordinaire 2015 du parlement, faisait référence à l’affaire de la juge française Khéris et des écoutes téléphoniques.
« Sur l’affaire des pseudo-écoutes téléphoniques. Que de chimères ! J’ai longuement évoqué le sujet avec le Président de la République Son Excellence Alassane Ouattara à Paris et ici même à Abidjan(…)Il a décidé de traiter personnellement, cette affaire avec les nouvelles Autorités burkinabè élues.» a-t-il révélé.
« J’ai été choqué au plus haut point d’être victime de l’une des pires campagnes de dénigrement et de calomnie jamais orchestrées contre ma personne et mon combat politique. J’ai été blessé et meurtri », a regretté, Guillaume Soro.
Le chef du parlement ivoirien a salué « l’excellence des relations entre le Burkina Faso et la Côte d’Ivoire ». Il en a profité pour saluer «ce vaillant peuple, ses autorités et toute sa classe politique pour la tenue d’élections sans la moindre effusion de sang », le 29 novembre dernier.
« Le Burkina Faso, vous le savez tous, est un pays fort particulier pour moi. C’est le pays qui m’a accueilli aux heures les plus graves de mon existence en m’offrant l’exil », a par ailleurs rappelé Guillaume Soro.
Un enregistrement sonore présenté comme celui d’une conversation téléphonique entre le chef du parlement ivoirien, Guillaume Soro et l’ex ministre du Burkina Faso des affaires étrangères, Djibrill Bassolé a circulé sur les réseaux sociaux dans le mois de novembre avec pour sujet principal le renversement du régime de transition au Burkina Faso
SY/ls/APA