Abidjan (Côte d’Ivoire) - Le projet de loi portant programmation des Forces de sécurité intérieure pour les années 2016-2020 a été adopté, mercredi en commission, par l’Assemblée nationale, avec un budget global prévisionnel estimé à 390 milliards FCFA.
‘’Pour atteindre les objectifs de ce projet de loi et garantir ainsi l’établissement des fondations de nos outils de sécurité, le budget global prévisionnel pour les forces de sécurité intérieure, hors Gendarmerie, est estimé à 390 milliards FCFA pour les années 2016-2020’’, a souligné le Ministre d’Etat, ministre de l’intérieur et de la sécurité (MEMIS), Hamed Bakayoko qui l’a porté devant les députés de la Commission Sécurité et Paix.
Le projet de loi qui ne prend, donc, pas en compte la Gendarmerie nationale, a pour but de restaurer la capacité opérationnelle des forces de sécurité par une profonde restructuration de l’institution selon des priorités établies.
Il s’agit, a-t-il indiqué, d’accroître l’effort sur la condition des personnels, de la mise en place de mécanismes propres à améliorer la professionnalisation dans la mixité avec pour objectif la féminisation de 20% dans les volets Recrutement, Formation et Reconversion ainsi que la modernisation des équipements.
‘’Les années de crise que notre pays a traversées ayant laissé notre outil de sécurité intérieure dans un état de dénuement et de désorganisation prononcés est-il soumis au législateur le présent projet de loi qui fixe sur un horizon de cinq ans d’une part, les orientations sur les priorités opérationnelles et d’autre part, les choix majeurs en matière d’équipements et d’effectifs’’, a expliqué le MEMIS Hamed Bakayoko.
Par ailleurs, le texte, aux dires de M. Bakayoko, consacrera les forces de sécurité intérieure dans leurs missions régaliennes de préservation de la paix intérieure sur l’ensemble du territoire national et dans leur rôle d’appui au développement du réseau de l’Office national de protection civile (ONPC) sur toute l’étendue de la Côte d’Ivoire.
Après cinq heures de débats entre le commissaire du gouvernement et les députés, le texte a été, unanimement, adopté par les députés de la Commission en attendant son prochain passage en plénière, à la satisfaction du Ministre d’Etat Hamed Bakayoko qui avait à ses côtés le ministre des Eaux et forêts, Babaud Darret.
HS/ls
‘’Pour atteindre les objectifs de ce projet de loi et garantir ainsi l’établissement des fondations de nos outils de sécurité, le budget global prévisionnel pour les forces de sécurité intérieure, hors Gendarmerie, est estimé à 390 milliards FCFA pour les années 2016-2020’’, a souligné le Ministre d’Etat, ministre de l’intérieur et de la sécurité (MEMIS), Hamed Bakayoko qui l’a porté devant les députés de la Commission Sécurité et Paix.
Le projet de loi qui ne prend, donc, pas en compte la Gendarmerie nationale, a pour but de restaurer la capacité opérationnelle des forces de sécurité par une profonde restructuration de l’institution selon des priorités établies.
Il s’agit, a-t-il indiqué, d’accroître l’effort sur la condition des personnels, de la mise en place de mécanismes propres à améliorer la professionnalisation dans la mixité avec pour objectif la féminisation de 20% dans les volets Recrutement, Formation et Reconversion ainsi que la modernisation des équipements.
‘’Les années de crise que notre pays a traversées ayant laissé notre outil de sécurité intérieure dans un état de dénuement et de désorganisation prononcés est-il soumis au législateur le présent projet de loi qui fixe sur un horizon de cinq ans d’une part, les orientations sur les priorités opérationnelles et d’autre part, les choix majeurs en matière d’équipements et d’effectifs’’, a expliqué le MEMIS Hamed Bakayoko.
Par ailleurs, le texte, aux dires de M. Bakayoko, consacrera les forces de sécurité intérieure dans leurs missions régaliennes de préservation de la paix intérieure sur l’ensemble du territoire national et dans leur rôle d’appui au développement du réseau de l’Office national de protection civile (ONPC) sur toute l’étendue de la Côte d’Ivoire.
Après cinq heures de débats entre le commissaire du gouvernement et les députés, le texte a été, unanimement, adopté par les députés de la Commission en attendant son prochain passage en plénière, à la satisfaction du Ministre d’Etat Hamed Bakayoko qui avait à ses côtés le ministre des Eaux et forêts, Babaud Darret.
HS/ls