Le président de l’Assemblée nationale de la Côte d’ivoire, Guillaume Soro, a exprimé sur sa page Twitter sa « compassion » et sa « solidarité » aux autorités burkinabè à la suite de l’attaque djihadiste que vient de vivre Ouagadougou, la capitale burkinabè.
« Tôt ce matin par courrier officiel au PAN (président de l’Assemblée nationale) du Burkina Faso j’ai exprimé ma compassion et ma solidarité aux autorités et au peuple burkinabè », a écrit le président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire.
« Certains s’en réjouissent d’autres seront tristes de me savoir libre. Ils devront se battre avec leur propre HAINE. Ainsi va la vie », a ajouté Soro dans son texte.
Vendredi, la justice burkinabè a lancé un mandat d’arrêt international contre le président de l’Assemblée nationale ivoirienne pour son présumé soutien au putsch manqué de Gilbert Diendéré, le 16 septembre 2015.
Des écoutes téléphoniques authentifiées par l’ancien Premier ministre burkinabè Yacouba Isaac Zida faisaient grand bruit entre la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso.
GS/od/APA
« Tôt ce matin par courrier officiel au PAN (président de l’Assemblée nationale) du Burkina Faso j’ai exprimé ma compassion et ma solidarité aux autorités et au peuple burkinabè », a écrit le président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire.
« Certains s’en réjouissent d’autres seront tristes de me savoir libre. Ils devront se battre avec leur propre HAINE. Ainsi va la vie », a ajouté Soro dans son texte.
Vendredi, la justice burkinabè a lancé un mandat d’arrêt international contre le président de l’Assemblée nationale ivoirienne pour son présumé soutien au putsch manqué de Gilbert Diendéré, le 16 septembre 2015.
Des écoutes téléphoniques authentifiées par l’ancien Premier ministre burkinabè Yacouba Isaac Zida faisaient grand bruit entre la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso.
GS/od/APA