Le président de l’Assemblée nationale de Côte d’ivoire, Guillaume Soro, visé par un mandat d’arrêt international depuis la veille émis par le Burkina Faso, a exprimé samedi sa "compassion" et sa "solidarité", au pays qui vient de subir une attaque terroriste sanglante.
"Tôt ce matin (samedi) par courrier officiel au PAN (Président de l’Assemblée nationale) du Burkina Faso, j’ai exprimé ma compassion et ma solidarité aux autorités et au peuple burkinabè", a écrit M. Soro, sur son compte twitter.
"Je réaffirme mon appel lancé depuis le Cameroun il y a deux ans pour une lutte concertée et commune contre le terrorisme en Afrique", a-t-il ajouté.
La justice burkinabè a lancé, vendredi, un mandat d’arrêt international contre Guillaume Soro dans l’affaire des présumées écoutes téléphoniques entre lui et l’ex-chef de la diplomatie burkinabè, Djibril Bassolé, sur leur rôle dans le putsch manqué de septembre 2015.
Le Premier ministre Burkinabè Paul Kaba Thiéba a annoncé samedi l’instauration d’un deuil national de 72 heures, à l’issue des attaques terroristes qui ont coûté la vie à 27 personnes à Ouagadougou, entre vendredi et samedi.
"Tôt ce matin (samedi) par courrier officiel au PAN (Président de l’Assemblée nationale) du Burkina Faso, j’ai exprimé ma compassion et ma solidarité aux autorités et au peuple burkinabè", a écrit M. Soro, sur son compte twitter.
"Je réaffirme mon appel lancé depuis le Cameroun il y a deux ans pour une lutte concertée et commune contre le terrorisme en Afrique", a-t-il ajouté.
La justice burkinabè a lancé, vendredi, un mandat d’arrêt international contre Guillaume Soro dans l’affaire des présumées écoutes téléphoniques entre lui et l’ex-chef de la diplomatie burkinabè, Djibril Bassolé, sur leur rôle dans le putsch manqué de septembre 2015.
Le Premier ministre Burkinabè Paul Kaba Thiéba a annoncé samedi l’instauration d’un deuil national de 72 heures, à l’issue des attaques terroristes qui ont coûté la vie à 27 personnes à Ouagadougou, entre vendredi et samedi.