Le Centre pilote de Port-Bouet a accueilli la cérémonie de fin de formation des bénéficiaires de l’Opération « Agir Pour les Jeunes ». Une étape qui précède le financement à proprement parlé. C’était ce mercredi 27 janvier 2016.
14h35. Il n’y a presque plus de places à l’intérieur du « Foyer des jeunes » de la commune aéroportuaire. Dans cet espace réservé habituellement aux festivités culturelles, l’atmosphère est studieuse. La chaleur de cet après midi, n’altère en rien la détermination des apprenants à terminer « en beauté » cette formation qui a duré un peu plus d’un mois.
Avec eux dans cette salle, le maire de la commune, Hortense Aka Angui, l’Administrateur par intérim de l’Agence Emploi Jeunes, Ange Pierre Danho, le Directeur-Crédits de l’Unacoopec-ci, Edoukou Roland et le ministre de la Promotion de la Jeunesse, de l’Emploi des Jeunes et du Service Civique, Sidi Tiémoko Touré. Ce dernier sillonne les différents groupes réunis en atelier. Ici les éleveurs, un peu plus loin les commerçants, là des couturiers et quelques mètres plus loin, des restaurateurs.
243 au total (sur 268) bénéficiaires. Tous ont reçu la même formation. « Comment choisir et gérer son activité. Comment rédiger son business plan… Voici quelques modules auxquels les bénéficiaires ont été formés », précise Roland Edoukou de l’Unacoopec-ci. Un pan essentiel dans le processus qui mène vers le financement. « Car former les bénéficiaires, c’est leur garantir la bonne gestion et le remboursement des moyens qui leur seront prêtés pour leurs projets », précise le Directeur-Crédit de la micro-finance. Comme les bénéficiaires de Port-Bouet, tous les jeunes, dont les projets ont été sélectionnés à travers le pays, ont suivi depuis le mois d’octobre 2015 la même formation avec les mêmes modules.
« Enfin, les jeunes vont trouver des raisons d’espérer et de croire en la Côte d’Ivoire », jubile la maire de Port-Bouet. Hortense Aka Angui s’est dit heureuse et fière « de voir le travail abattu par l’Agence Emploi Jeunes sous la houlette du ministre de la Promotion de la Jeunesse, de l’Emploi des Jeunes et du Service Civique ».
Le ministre Sidi s’est voulu rassurant quand à la promesse de financement de projets. « Avant d’arriver au financement, il fallait que les bénéficiaires sachent comment gérer », a-t-il expliqué en ajoutant : « Ce qui est important, c’est que ces fonds non seulement soient bien gérés, qu’ils servent à ce à quoi ils sont destinés, mais mieux, qu’ils soient remboursés. Car c’est une opération que nous voulons pérenne ». « Nous voulons avancer vite mais avec prudence, de sorte que ce programme soit une réussite totale », a souhaité le ministre Sidi Touré.
Et à tous ceux qui doutent de l’opération « Agir Pour les Jeunes », le ministre des « Jeunes » répond sans ombrage : « Les Régions du Bafing, Worodougou et Béré, ont commencé à percevoir leurs financements depuis le début de ce mois (de janvier, ndlr). Ils ont effectivement démarré leur projet ».
Le voile est donc levé. Après la phase de remise symbolique de chèques, et celle de la formation qui s’achève ce mercredi 27 janvier 2016, l’heure est au financement. Et pour s’assurer que les « leçons » ont été bien apprises, les bénéficiaires devront déposer leurs « copies » sur la table de la Coopec : leur business plan.
14h35. Il n’y a presque plus de places à l’intérieur du « Foyer des jeunes » de la commune aéroportuaire. Dans cet espace réservé habituellement aux festivités culturelles, l’atmosphère est studieuse. La chaleur de cet après midi, n’altère en rien la détermination des apprenants à terminer « en beauté » cette formation qui a duré un peu plus d’un mois.
Avec eux dans cette salle, le maire de la commune, Hortense Aka Angui, l’Administrateur par intérim de l’Agence Emploi Jeunes, Ange Pierre Danho, le Directeur-Crédits de l’Unacoopec-ci, Edoukou Roland et le ministre de la Promotion de la Jeunesse, de l’Emploi des Jeunes et du Service Civique, Sidi Tiémoko Touré. Ce dernier sillonne les différents groupes réunis en atelier. Ici les éleveurs, un peu plus loin les commerçants, là des couturiers et quelques mètres plus loin, des restaurateurs.
243 au total (sur 268) bénéficiaires. Tous ont reçu la même formation. « Comment choisir et gérer son activité. Comment rédiger son business plan… Voici quelques modules auxquels les bénéficiaires ont été formés », précise Roland Edoukou de l’Unacoopec-ci. Un pan essentiel dans le processus qui mène vers le financement. « Car former les bénéficiaires, c’est leur garantir la bonne gestion et le remboursement des moyens qui leur seront prêtés pour leurs projets », précise le Directeur-Crédit de la micro-finance. Comme les bénéficiaires de Port-Bouet, tous les jeunes, dont les projets ont été sélectionnés à travers le pays, ont suivi depuis le mois d’octobre 2015 la même formation avec les mêmes modules.
« Enfin, les jeunes vont trouver des raisons d’espérer et de croire en la Côte d’Ivoire », jubile la maire de Port-Bouet. Hortense Aka Angui s’est dit heureuse et fière « de voir le travail abattu par l’Agence Emploi Jeunes sous la houlette du ministre de la Promotion de la Jeunesse, de l’Emploi des Jeunes et du Service Civique ».
Le ministre Sidi s’est voulu rassurant quand à la promesse de financement de projets. « Avant d’arriver au financement, il fallait que les bénéficiaires sachent comment gérer », a-t-il expliqué en ajoutant : « Ce qui est important, c’est que ces fonds non seulement soient bien gérés, qu’ils servent à ce à quoi ils sont destinés, mais mieux, qu’ils soient remboursés. Car c’est une opération que nous voulons pérenne ». « Nous voulons avancer vite mais avec prudence, de sorte que ce programme soit une réussite totale », a souhaité le ministre Sidi Touré.
Et à tous ceux qui doutent de l’opération « Agir Pour les Jeunes », le ministre des « Jeunes » répond sans ombrage : « Les Régions du Bafing, Worodougou et Béré, ont commencé à percevoir leurs financements depuis le début de ce mois (de janvier, ndlr). Ils ont effectivement démarré leur projet ».
Le voile est donc levé. Après la phase de remise symbolique de chèques, et celle de la formation qui s’achève ce mercredi 27 janvier 2016, l’heure est au financement. Et pour s’assurer que les « leçons » ont été bien apprises, les bénéficiaires devront déposer leurs « copies » sur la table de la Coopec : leur business plan.