«L’argent a été effectivement payé, hier, aux députés de la législature 2000-2010. Tout le monde était là, même ceux qui ne peuvent plus marcher». C’est en ces termes que Kouakou Krah, ancien député du Front populaire ivoirien (Fpi) de Nassian, a confirmé le paiement effectif des arriérés d’indemnités de session des députés de la législature 2000-2010, c’est-à-dire les députés qui ont siégé toute la durée du mandat du président Gbagbo.
Comme annoncé dans notre dernière parution, les anciens députés concernés ont empoché, chacun, la coquette somme de 3 millions de Fcfa, payée dans des locaux annexes de l’Assemblée nationale, sis à Cocody non loin de l’ambassade des Etats-Unis à la Riviera Golf. Cet argent constitue sur une partie de ce que leur doit l’Etat de Côte d’Ivoire.
La question du paiement des arriérés d’indemnités des anciens députés de la législature 2000-2010 figurait au centre des discussions entre le chef de l’opposition ivoirienne et le chef de l’Etat en janvier dernier.
Pascal Affi N’Guessan avait rassuré de la volonté de M. Ouattara de s’acquitter de ces arriérés dès le mois de février. Avec le paiement effectif des arriérés des indemnités de session de 2010 aux députés de la seconde législature sous Laurent Gbagbo, on ose croire que le chef de l’Etat, Alassane Ouattara, ne va pas s’arrêter en si bon chemin avec ce début d’exécution de ses promesses au président du Front populaire ivoirien, Pascal Affi N’Guessan.
Benjamin KORé
Comme annoncé dans notre dernière parution, les anciens députés concernés ont empoché, chacun, la coquette somme de 3 millions de Fcfa, payée dans des locaux annexes de l’Assemblée nationale, sis à Cocody non loin de l’ambassade des Etats-Unis à la Riviera Golf. Cet argent constitue sur une partie de ce que leur doit l’Etat de Côte d’Ivoire.
La question du paiement des arriérés d’indemnités des anciens députés de la législature 2000-2010 figurait au centre des discussions entre le chef de l’opposition ivoirienne et le chef de l’Etat en janvier dernier.
Pascal Affi N’Guessan avait rassuré de la volonté de M. Ouattara de s’acquitter de ces arriérés dès le mois de février. Avec le paiement effectif des arriérés des indemnités de session de 2010 aux députés de la seconde législature sous Laurent Gbagbo, on ose croire que le chef de l’Etat, Alassane Ouattara, ne va pas s’arrêter en si bon chemin avec ce début d’exécution de ses promesses au président du Front populaire ivoirien, Pascal Affi N’Guessan.
Benjamin KORé