Le ministre de la Promotion de la jeunesse de l’Emploi des jeunes et du Service civique’ Sidi Touré, a eu des audiences au cabinet dudit ministère au Plateau, le jeudi 18 février 2016, d’abord avec l’ambassadrice du Canada, S.E.M Mc Cullaghl ensuite avec la représentante d’Onu-Femmes, madame Marie Gorreti Nduwayo,
A sa sortie d’audience Mc Cullaghl a affirmé avoir parlé des jeunes qui ont reçu la formation d’emploi surtout la formation technique avec le ministre Sidi Touré. « Nous avons échangé pour voir comment la Côte d’Ivoire et le Canada pourront travailler pour trouver les moyens pour soutenir les jeunes. Selon elle, il faut être inovateur et trouver les moyens de travailler ensemble avec le secteur privé. Car, selon elle, Il y a de belles opportunités de travailler dans le secteur agricole et les mines. Pour sa part, le ministre, il a tenu à préciser qu’une ambassade n’est pas une banque. « Nous nous mettons dans une posture de réflexion. Du point de vue de la partie canadienne, beaucoup d’opportunités existent en termes d’appui, d’accompagnement, de formation du privée canadien, pour pouvoir absorber notre requête pour l’emploi ou le stage des étudiants », a martelé Sidi Touré. Pour le premier responsable de la jeunesse au sein du gouvernement Duncan, il faut creuser toutes ces opportunités, les mettre sur la table et avec l’ambassade en appui, signer des conventions de partenariat. « Il y a de très belles pistes au niveau de la collaboration aussi bien dans le secteur minier où la partie canadienne est bien implantée en Côte d’ Ivoire que dans le secteur privé dans le cadre des partenariats public-privé et échanges de compétences. Pour le bonheur des Ivoiriens le Canada est beaucoup engagé. Dans nos démarches, nous ne voulons pas qu’il y ait de fuite de cerveau. Nous voulons conserver nos compétences ici en Côte d’Ivoire. Ils doivent partir se former et revenir », a-t-il souhaité
L’audience de la représentante d’Onu-Femmes
Le ministre a aussi accordé une audience à la représentante d’Onu-Femmes, Mme Marie Gorreti Nduwayo. A sa sortie, Gorreti Nduwaoa dit avoir abordé la question de la jeune fille avec Sidi Touré. « Nous sommes satisfaits quant aux considérations faites aux jeunes filles et aux jeunes garçons. Il y a beaucoup de programmes mis en place par le ministère qui intéressent la jeune fille et le jeune garçon. L’important c’est de voir qu’il n’y a pas de discrimination. Nous insistons sur la question de l’autonomisation de la jeune fille mais aussi son rôle dans la prévention de lutte contre les violences faites aux femmes et la lutte contre le VIH/SIDA. Ce sont des questions importantes dans lesquelles, la jeune fille doit se sentir concernée », a-t-elle dit. La représentante d’ONU-Femmes a toutefois affirmé que l’organisme qu’elle représente, contribue à cette lutte de façon technique et le ‘’peu’’ de ressource qu’ils ont, est mis à la disposition non seulement des femmes mais aussi des jeunes filles.
HG
A sa sortie d’audience Mc Cullaghl a affirmé avoir parlé des jeunes qui ont reçu la formation d’emploi surtout la formation technique avec le ministre Sidi Touré. « Nous avons échangé pour voir comment la Côte d’Ivoire et le Canada pourront travailler pour trouver les moyens pour soutenir les jeunes. Selon elle, il faut être inovateur et trouver les moyens de travailler ensemble avec le secteur privé. Car, selon elle, Il y a de belles opportunités de travailler dans le secteur agricole et les mines. Pour sa part, le ministre, il a tenu à préciser qu’une ambassade n’est pas une banque. « Nous nous mettons dans une posture de réflexion. Du point de vue de la partie canadienne, beaucoup d’opportunités existent en termes d’appui, d’accompagnement, de formation du privée canadien, pour pouvoir absorber notre requête pour l’emploi ou le stage des étudiants », a martelé Sidi Touré. Pour le premier responsable de la jeunesse au sein du gouvernement Duncan, il faut creuser toutes ces opportunités, les mettre sur la table et avec l’ambassade en appui, signer des conventions de partenariat. « Il y a de très belles pistes au niveau de la collaboration aussi bien dans le secteur minier où la partie canadienne est bien implantée en Côte d’ Ivoire que dans le secteur privé dans le cadre des partenariats public-privé et échanges de compétences. Pour le bonheur des Ivoiriens le Canada est beaucoup engagé. Dans nos démarches, nous ne voulons pas qu’il y ait de fuite de cerveau. Nous voulons conserver nos compétences ici en Côte d’Ivoire. Ils doivent partir se former et revenir », a-t-il souhaité
L’audience de la représentante d’Onu-Femmes
Le ministre a aussi accordé une audience à la représentante d’Onu-Femmes, Mme Marie Gorreti Nduwayo. A sa sortie, Gorreti Nduwaoa dit avoir abordé la question de la jeune fille avec Sidi Touré. « Nous sommes satisfaits quant aux considérations faites aux jeunes filles et aux jeunes garçons. Il y a beaucoup de programmes mis en place par le ministère qui intéressent la jeune fille et le jeune garçon. L’important c’est de voir qu’il n’y a pas de discrimination. Nous insistons sur la question de l’autonomisation de la jeune fille mais aussi son rôle dans la prévention de lutte contre les violences faites aux femmes et la lutte contre le VIH/SIDA. Ce sont des questions importantes dans lesquelles, la jeune fille doit se sentir concernée », a-t-elle dit. La représentante d’ONU-Femmes a toutefois affirmé que l’organisme qu’elle représente, contribue à cette lutte de façon technique et le ‘’peu’’ de ressource qu’ils ont, est mis à la disposition non seulement des femmes mais aussi des jeunes filles.
HG