Le président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire, Guillaume Soro, est attendu mercredi au Gabon où il devrait prendre part à une conférence de l’Assemblée parlementaire de la Francophonie (APF), selon une note de son service communication publiée mardi.
"Le président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire, Guillaume Kigbafori Soro, se rend à Libreville, au Gabon, du 02 au 05 mars où il prendra part à la 8e conférence des présidents d’Assemblées et de sections de l’APF", indique la note.
Il sera question lors de cette conférence de "faire le bilan des activités politiques, économiques et sociales" de la région Afrique de l’Apf et envisager les "perspectives".
"L’avant-projet d’ordre du jour de la 24e Assemblée régionale" prévue au Mali sera également examiné et le sommet "planchera sur les thèmes de ces assises", relatifs aux "défis et espoirs" de la 21e conférence des Nations-Unies sur les changements climatiques (COP 21) pour l’Afrique, aux "médias sociaux" et au "développement démocratique".
Début décembre 2015, la justice française avait délivré un mandat d’amener visant Guillaume Soro, alors "en mission officielle" à Paris, "dans le cadre de la COP 21", selon le gouvernement ivoirien.
La juge d’instruction Sabine Khéris souhaitait l’entendre concernant une plainte de Michel Gbagbo, fils de l’ex-président ivoirien Laurent Gbagbo, pour "enlèvement, séquestration, traitement dégradant et inhumain", lors de son arrestation en avril 2011, à l’issue d’une crise postélectorale en Côte d’Ivoire.
En janvier 2016, la justice burkinabè a émis quant à elle un mandat d’arrêt contre le président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire, soupçonné d’être impliqué dans le coup d’Etat manqué de septembre au Burkina Faso.
Un enregistrement sonore diffusé le 12 novembre 2015 sur les réseaux sociaux a été présenté comme une conversation entre M. Soro et Djibril Bassolé, l’ancien ministre des Affaires étrangères de Blaise Compaoré, discutant des moyens d’éviter l’échec de ce putsch.
MYA
"Le président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire, Guillaume Kigbafori Soro, se rend à Libreville, au Gabon, du 02 au 05 mars où il prendra part à la 8e conférence des présidents d’Assemblées et de sections de l’APF", indique la note.
Il sera question lors de cette conférence de "faire le bilan des activités politiques, économiques et sociales" de la région Afrique de l’Apf et envisager les "perspectives".
"L’avant-projet d’ordre du jour de la 24e Assemblée régionale" prévue au Mali sera également examiné et le sommet "planchera sur les thèmes de ces assises", relatifs aux "défis et espoirs" de la 21e conférence des Nations-Unies sur les changements climatiques (COP 21) pour l’Afrique, aux "médias sociaux" et au "développement démocratique".
Début décembre 2015, la justice française avait délivré un mandat d’amener visant Guillaume Soro, alors "en mission officielle" à Paris, "dans le cadre de la COP 21", selon le gouvernement ivoirien.
La juge d’instruction Sabine Khéris souhaitait l’entendre concernant une plainte de Michel Gbagbo, fils de l’ex-président ivoirien Laurent Gbagbo, pour "enlèvement, séquestration, traitement dégradant et inhumain", lors de son arrestation en avril 2011, à l’issue d’une crise postélectorale en Côte d’Ivoire.
En janvier 2016, la justice burkinabè a émis quant à elle un mandat d’arrêt contre le président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire, soupçonné d’être impliqué dans le coup d’Etat manqué de septembre au Burkina Faso.
Un enregistrement sonore diffusé le 12 novembre 2015 sur les réseaux sociaux a été présenté comme une conversation entre M. Soro et Djibril Bassolé, l’ancien ministre des Affaires étrangères de Blaise Compaoré, discutant des moyens d’éviter l’échec de ce putsch.
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