Le ministre de la Promotion de la Jeunesse, de l’Emploi des Jeunes et du Service civique, Sidi Touré a procédé à l’installation de la cellule genre de son ministère, le mercredi 30 mars 2016 à son cabinet au Plateau. Il a aussi accordé une audience à une délégation des confessions religieuses de Côte d‘Ivoire.
« Les défis de l’autonomisation de la femme et de la jeune femme en particulier passe par nous (ndlr : les hommes). Vous pouvez compter sur notre contribution à vous aider dans votre lutte. Mais, vous pouvez compter surtout sur le fait que nous allons vous donner toute votre place dans l’organisation et la gestion des activités du ministère », a dit Sidi Touré. Avant d’ajouter : « le moment d’être avec vous est venu. Le moment est favorable et le moment, c’est maintenant ». Avant, le point focal genre du ministère Touré Yassine, a procédé à la présentation de la cellule sectorielle genre. Elle a expliqué les objectifs, rôles, missions et tâches de cette cellule. « L’approche genre promet l’égalité des droits, ainsi qu’un partage équitable des ressources et responsabilités entre les femmes et les hommes. Ainsi, la mise en place de la cellule sectorielle genre obéit à une logique de renforcement du cadre institutionnel de prise en compte transversale du genre dans l’élaboration des politiques, programmes et projets sectoriels visant l’autonomisation de la femme et la prise en compte des besoins stratégiques et pratiques des hommes et des femmes », a-t-elle expliqué. Dans son élan, Yassine Touré a précisé que « Le Genre n’est pas lié au sexe, c’est une construction sociale des identités de sexe. Le Genre est une notion dynamique .Il subit l’influence des mutations sociales. Prendre en compte le Genre ne signifie pas que les femmes doivent remplacer les hommes. Il signifie plutôt, réduire les inégalités entre les sexes en agissant de manière préventive et/ou en les corrigeant, si elles existent déjà ».
L’audience avec la délégation des confessions religieuses de Côte d‘Ivoire
Le ministre a aussi accordé une audience publique à une délégation des confessions religieuses de Côte d‘Ivoire. Au menu des échanges, la promotion et l’amélioration des conditions de vie de la jeunesse ivoirienne. Les invités du ministre étaient porteurs d’un projet d’organisation du Colloque panafricain sur Culture et Education à la paix, prévu pour novembre 2017. Ce projet soutenu par le Chef de l’Etat, à travers le ministère des Affaires Etrangères, sera organisé par l’Etat de Côte d’Ivoire en collaboration avec la conférence épiscopale. Le ministre Sidi Touré a donné son accord et son soutien à l’organisation d’un tel colloque qui vise en premier la jeunesse ivoirienne. « Si vous estimez que votre cible principale est la jeunesse, vous avez notre soutien. Vous pouvez compter sur nous pour la mobilisation de la jeunesse », a-t-il dit à ses invités. Avant de souhaiter que le terme « Jeunesse » apparaisse clairement dans le thème du colloque. Etiboua Miezan, 1er secrétaire à l’Ambassade de Côte d’Ivoire au Vatican, chef de file de la délégation, a émis le vœu de voir une appropriation du colloque par les jeunes. Car pour lui, « nous évoluons dans un contexte où Dieu est mis entre parenthèse. Les crises que nous vivons sont des crises de l’homme. Il faut donc aller à la racine, pour apporter un changement dans le futur à travers le dialogue inter-religieux, la culture et l’éducation à la paix ».
HG
« Les défis de l’autonomisation de la femme et de la jeune femme en particulier passe par nous (ndlr : les hommes). Vous pouvez compter sur notre contribution à vous aider dans votre lutte. Mais, vous pouvez compter surtout sur le fait que nous allons vous donner toute votre place dans l’organisation et la gestion des activités du ministère », a dit Sidi Touré. Avant d’ajouter : « le moment d’être avec vous est venu. Le moment est favorable et le moment, c’est maintenant ». Avant, le point focal genre du ministère Touré Yassine, a procédé à la présentation de la cellule sectorielle genre. Elle a expliqué les objectifs, rôles, missions et tâches de cette cellule. « L’approche genre promet l’égalité des droits, ainsi qu’un partage équitable des ressources et responsabilités entre les femmes et les hommes. Ainsi, la mise en place de la cellule sectorielle genre obéit à une logique de renforcement du cadre institutionnel de prise en compte transversale du genre dans l’élaboration des politiques, programmes et projets sectoriels visant l’autonomisation de la femme et la prise en compte des besoins stratégiques et pratiques des hommes et des femmes », a-t-elle expliqué. Dans son élan, Yassine Touré a précisé que « Le Genre n’est pas lié au sexe, c’est une construction sociale des identités de sexe. Le Genre est une notion dynamique .Il subit l’influence des mutations sociales. Prendre en compte le Genre ne signifie pas que les femmes doivent remplacer les hommes. Il signifie plutôt, réduire les inégalités entre les sexes en agissant de manière préventive et/ou en les corrigeant, si elles existent déjà ».
L’audience avec la délégation des confessions religieuses de Côte d‘Ivoire
Le ministre a aussi accordé une audience publique à une délégation des confessions religieuses de Côte d‘Ivoire. Au menu des échanges, la promotion et l’amélioration des conditions de vie de la jeunesse ivoirienne. Les invités du ministre étaient porteurs d’un projet d’organisation du Colloque panafricain sur Culture et Education à la paix, prévu pour novembre 2017. Ce projet soutenu par le Chef de l’Etat, à travers le ministère des Affaires Etrangères, sera organisé par l’Etat de Côte d’Ivoire en collaboration avec la conférence épiscopale. Le ministre Sidi Touré a donné son accord et son soutien à l’organisation d’un tel colloque qui vise en premier la jeunesse ivoirienne. « Si vous estimez que votre cible principale est la jeunesse, vous avez notre soutien. Vous pouvez compter sur nous pour la mobilisation de la jeunesse », a-t-il dit à ses invités. Avant de souhaiter que le terme « Jeunesse » apparaisse clairement dans le thème du colloque. Etiboua Miezan, 1er secrétaire à l’Ambassade de Côte d’Ivoire au Vatican, chef de file de la délégation, a émis le vœu de voir une appropriation du colloque par les jeunes. Car pour lui, « nous évoluons dans un contexte où Dieu est mis entre parenthèse. Les crises que nous vivons sont des crises de l’homme. Il faut donc aller à la racine, pour apporter un changement dans le futur à travers le dialogue inter-religieux, la culture et l’éducation à la paix ».
HG