La salle des fêtes de la Mairie de Yamoussoukro a servi de cadre pour le lancement officiel des activités des sous-projets « Aide à la création de Micro et Petites Entreprises (MPE)». Une cérémonie présidée par le ministre Sidi Tiémoko Touré, ministre de la Promotion de la Jeunesse, de l’Emploi des Jeunes et du Service Civique.
4 000 jeunes dans le secteur informel dont 2 500 dans le District d’Abidjan, 1500 dans le District de Yamoussoukro. C’est le nombre de bénéficiaires de ce sous-projet supervisé par le Bureau de Coordination des Programmes Emploi (BCP-Emploi) et qui est financé par l’Agence Française de développement. Ce, dans le cadre du Contrat de Désendettement et de Développement (C2D).
C’est à l’ONG IECD que revient la tâche « d’identifier les bénéficiaires, de les sélectionner, de les former, les accompagner à la recherche de financement et suivre les activités des entreprises qui seront créées ». Plusieurs secteurs sont concernés : la mécanique, la couture, la distribution, la transformation, etc…
Le ministre Sidi Tiémoko Touré s’est réjoui de ce projet qui, selon lui, « dénote du dynamisme insufflé à la question de l’insertion par l’auto emploi ». Avec comme objectif à terme : « permettre l’insertion de 8000 jeunes à travers les Micro et Petites Entreprises créées ».
« Plus de 4000 bénéficiaires ont déjà été sélectionnés et les formations sont diffusées en ce moment, pour près de 2000 d’entre eux », a souligné le ministre de la Promotion de la Jeunesse, de l’Emploi des Jeunes et du Service Civique.
Aux jeunes bénéficiaires il a conseillé d’être de bons entrepreneurs. « Le bon entrepreneur est une personne capable d’observer son environnement immédiat, de tirer de cette observation des idées de développement pour l’entreprise qu’il envisage de créer, de réunir des ressources et de mettre en œuvre des actions pour tirer profit des opportunités commerciales », a rappelé le ministre en rappelant qu’avant Yamoussoukro, des cérémonies similaires on eu lieu à Man (en février 2016) et à Anyama (en mars 2016).
4 000 jeunes dans le secteur informel dont 2 500 dans le District d’Abidjan, 1500 dans le District de Yamoussoukro. C’est le nombre de bénéficiaires de ce sous-projet supervisé par le Bureau de Coordination des Programmes Emploi (BCP-Emploi) et qui est financé par l’Agence Française de développement. Ce, dans le cadre du Contrat de Désendettement et de Développement (C2D).
C’est à l’ONG IECD que revient la tâche « d’identifier les bénéficiaires, de les sélectionner, de les former, les accompagner à la recherche de financement et suivre les activités des entreprises qui seront créées ». Plusieurs secteurs sont concernés : la mécanique, la couture, la distribution, la transformation, etc…
Le ministre Sidi Tiémoko Touré s’est réjoui de ce projet qui, selon lui, « dénote du dynamisme insufflé à la question de l’insertion par l’auto emploi ». Avec comme objectif à terme : « permettre l’insertion de 8000 jeunes à travers les Micro et Petites Entreprises créées ».
« Plus de 4000 bénéficiaires ont déjà été sélectionnés et les formations sont diffusées en ce moment, pour près de 2000 d’entre eux », a souligné le ministre de la Promotion de la Jeunesse, de l’Emploi des Jeunes et du Service Civique.
Aux jeunes bénéficiaires il a conseillé d’être de bons entrepreneurs. « Le bon entrepreneur est une personne capable d’observer son environnement immédiat, de tirer de cette observation des idées de développement pour l’entreprise qu’il envisage de créer, de réunir des ressources et de mettre en œuvre des actions pour tirer profit des opportunités commerciales », a rappelé le ministre en rappelant qu’avant Yamoussoukro, des cérémonies similaires on eu lieu à Man (en février 2016) et à Anyama (en mars 2016).
