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Ambiance festive ce mardi 08 mars 2016 sur l’esplanade de la Tour B de la Cité Administrative, au Plateau. La raison ? Les femmes du Ministère de la Promotion de la Jeunesse, de l’Emploi des Jeunes et du Service Civique ont organisé une cérémonie. Cela à l’occasion de la célébration de la journée internationale des droits des femmes.
Invité spécial à cette fête, le ministre Sidi Tiémoko Touré a pris un engagement : celui d’œuvrer à la promotion du genre dans son département ministériel.
«Il n’y a pas de développement sans les femmes ; cheville ouvrière de notre société, vous en êtes la sève nourricière », a-t-il dit. Aujourd’hui, je prends l’engagement de continuer à contribuer à la promotion du genre et à sa valorisation».
Une promesse, en réponse au chapelet de doléances égrené un peu plus tôt par madame Yacine Touré, la présidente de la Cellule Genre du ministère.
Celles-ci se résument à l’accès équitable aux postes de décisions, à la responsabilisation de la femme, à la réduction des stéréotypes, à l’élaboration d’une politique efficiente de gestion des carrières, à l’institution des primes d’encouragement et de productivité du personnel pour des perspectives d’épanouissement et d’autonomisation sûres et pérennes.
Instituée par l’Organisation des Nations Unies (ONU) en 1977, la journée internationale pour les droits des femmes vise à créer des conditions favorables à l’élimination de la discrimination à l’égard des femmes. Et à leur pleine participation, sur un pied d’égalité, au développement social. Cette année, elle est placée sous le thème : Autonomisation de la femme : défis et perspectives pour un épanouissement de la famille.
Invité spécial à cette fête, le ministre Sidi Tiémoko Touré a pris un engagement : celui d’œuvrer à la promotion du genre dans son département ministériel.
«Il n’y a pas de développement sans les femmes ; cheville ouvrière de notre société, vous en êtes la sève nourricière », a-t-il dit. Aujourd’hui, je prends l’engagement de continuer à contribuer à la promotion du genre et à sa valorisation».
Une promesse, en réponse au chapelet de doléances égrené un peu plus tôt par madame Yacine Touré, la présidente de la Cellule Genre du ministère.
Celles-ci se résument à l’accès équitable aux postes de décisions, à la responsabilisation de la femme, à la réduction des stéréotypes, à l’élaboration d’une politique efficiente de gestion des carrières, à l’institution des primes d’encouragement et de productivité du personnel pour des perspectives d’épanouissement et d’autonomisation sûres et pérennes.
Instituée par l’Organisation des Nations Unies (ONU) en 1977, la journée internationale pour les droits des femmes vise à créer des conditions favorables à l’élimination de la discrimination à l’égard des femmes. Et à leur pleine participation, sur un pied d’égalité, au développement social. Cette année, elle est placée sous le thème : Autonomisation de la femme : défis et perspectives pour un épanouissement de la famille.
