Abidjan - Le professeur de droit, Martin Bléou, s’est prononcé, mercredi, en faveur d’une limitation des mandats présidentiels en Côte d’Ivoire, soulignant que le principe intègre le fondement d’un régime « démocratique ».
« Je suis favorable à la limitation du pouvoir », a signifié M. Bléou, alors invité du 2ème numéro de « La Tribune de l’AIP », un espace d’échange et d’information sur des sujets d’actualité conçu par l’Agence nationale de presse de Côte d’Ivoire.
Le constitutionnaliste communiquait sur le thème « révision de la constitution, pourquoi et comment», précise-t-on.
« Mon avis c’est qu’il faut limiter le pouvoir pour éviter les abus, pour éviter que l’on s’éternise au pouvoir, pour éviter de faire du pouvoir quelque chose de viager, là comme ailleurs parce qu’on est en démocratie. C’est ça mon avis à titre personnel », a-t-il ajouté.
Le sujet de la révision constitutionnelle alimente régulièrement les débats en Côte d’Ivoire avec des positions en faveur de l’élimination de la disposition de la limitation des mandats contenus dans la constitution ivoirienne actuelle. Le prétexte avancé par ceux épousant l’assertion est que la disposition est anti-démocratique.
(AIP)
kg/akn/tm
« Je suis favorable à la limitation du pouvoir », a signifié M. Bléou, alors invité du 2ème numéro de « La Tribune de l’AIP », un espace d’échange et d’information sur des sujets d’actualité conçu par l’Agence nationale de presse de Côte d’Ivoire.
Le constitutionnaliste communiquait sur le thème « révision de la constitution, pourquoi et comment», précise-t-on.
« Mon avis c’est qu’il faut limiter le pouvoir pour éviter les abus, pour éviter que l’on s’éternise au pouvoir, pour éviter de faire du pouvoir quelque chose de viager, là comme ailleurs parce qu’on est en démocratie. C’est ça mon avis à titre personnel », a-t-il ajouté.
Le sujet de la révision constitutionnelle alimente régulièrement les débats en Côte d’Ivoire avec des positions en faveur de l’élimination de la disposition de la limitation des mandats contenus dans la constitution ivoirienne actuelle. Le prétexte avancé par ceux épousant l’assertion est que la disposition est anti-démocratique.
(AIP)
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