Le ministre de la Promotion de la Jeunesse de l’Emploi des Jeunes et du Service Civique a pris part aux débats « sur les enfants et les jeunes touchés par l’extrémisme violent », qui ont eu lieu le 3 juin 2016, lors de la 70e Session de l’Assemblée Générale des Nations Unies qui s’est tenue à New York.
« Le contexte international dans lequel intervient cette rencontre est évocateur, compte tenu des nombreuses attaques perpétrées récemment dans divers endroits du monde.
L’extrémisme violent n’est pas un phénomène propre à un continent ou un pays, mais pour nous Africains, il y va de la survie de nombre de nos Etats », a rappelé le ministre Sidi Touré. Pour lui, cette session de l’Assemblée Générale de l’ONU sur les enfants et les jeunes touchés par l’extrémisme violent et l’adoption du document final, matérialisent un engagement commun. Le premier responsable ivoirien de la jeunesse a indiqué que les phénomènes de l’extrémisme violent, de la radicalisation et du terrorisme « ne peuvent être endigués en dehors d’une vision globale de coopération internationale », « car, a-t-il ajouté, les adversaires sont unis et opèrent à l’échelle planétaire ».
« Il s’agit d’une responsabilité commune et partagée qui doit être traitée dans un cadre multilatéral au moyen d’une coopération internationale efficace et accrue », a-t-il souhaité en précisant qu’en la matière, la politique du Gouvernement ivoirien « a consisté à se doter d’un arsenal juridique et d’instruments de lutte contre ce fléau en raison des perturbations sociopolitiques de ces dernières années ».
Depuis 1999, il existe un texte répressif contre le trafic et la consommation de drogues, un des moteurs de l’extrémisme violent existe. La Côte d’Ivoire s’est dotée depuis 2015 d’une loi antiterroriste.
Des outils et initiatives, viennent booster cet engagement du gouvernement ivoirien dans la lutte contre le phénomène des « enfants et des jeunes touchés par l’extrémisme violent ». La mise en place du Conseil National de la Jeunesse (CNJCI) et d’une plateforme technologique dénommée « U-REPORT » mais aussi le Service Civique d’Action pour l’Emploi et le Développement (SCAED) qui visent la socialisation et l’insertion professionnelle des marginaux.
Le ministre Sidi Tiémoko Touré a appelé « la communauté internationale à soutenir toutes les initiatives visant à prévenir et à lutter contre ces phénomènes ». « Il s’agit spécifiquement de soutenir les projets jeunes en matière de participation au dialogue politique, d’insertion socio-professionnelle, de promotion des valeurs civiques et de citoyenneté, de réduction des inégalités », a-t-il conclu.
« Le contexte international dans lequel intervient cette rencontre est évocateur, compte tenu des nombreuses attaques perpétrées récemment dans divers endroits du monde.
L’extrémisme violent n’est pas un phénomène propre à un continent ou un pays, mais pour nous Africains, il y va de la survie de nombre de nos Etats », a rappelé le ministre Sidi Touré. Pour lui, cette session de l’Assemblée Générale de l’ONU sur les enfants et les jeunes touchés par l’extrémisme violent et l’adoption du document final, matérialisent un engagement commun. Le premier responsable ivoirien de la jeunesse a indiqué que les phénomènes de l’extrémisme violent, de la radicalisation et du terrorisme « ne peuvent être endigués en dehors d’une vision globale de coopération internationale », « car, a-t-il ajouté, les adversaires sont unis et opèrent à l’échelle planétaire ».
« Il s’agit d’une responsabilité commune et partagée qui doit être traitée dans un cadre multilatéral au moyen d’une coopération internationale efficace et accrue », a-t-il souhaité en précisant qu’en la matière, la politique du Gouvernement ivoirien « a consisté à se doter d’un arsenal juridique et d’instruments de lutte contre ce fléau en raison des perturbations sociopolitiques de ces dernières années ».
Depuis 1999, il existe un texte répressif contre le trafic et la consommation de drogues, un des moteurs de l’extrémisme violent existe. La Côte d’Ivoire s’est dotée depuis 2015 d’une loi antiterroriste.
Des outils et initiatives, viennent booster cet engagement du gouvernement ivoirien dans la lutte contre le phénomène des « enfants et des jeunes touchés par l’extrémisme violent ». La mise en place du Conseil National de la Jeunesse (CNJCI) et d’une plateforme technologique dénommée « U-REPORT » mais aussi le Service Civique d’Action pour l’Emploi et le Développement (SCAED) qui visent la socialisation et l’insertion professionnelle des marginaux.
Le ministre Sidi Tiémoko Touré a appelé « la communauté internationale à soutenir toutes les initiatives visant à prévenir et à lutter contre ces phénomènes ». « Il s’agit spécifiquement de soutenir les projets jeunes en matière de participation au dialogue politique, d’insertion socio-professionnelle, de promotion des valeurs civiques et de citoyenneté, de réduction des inégalités », a-t-il conclu.