L'ex-Première dame de Côte d'Ivoire Simone Gbagbo, jugée pour "crimes contre l'humanité" depuis le 31 mai à Abidjan et interrogée lundi par l'accusation sur ses activités « supposées ou réelles », a réfuté avoir disposé d'un cabinet militaire privé.
« Est-ce que vous aviez un cabinet ? », a notamment demandé, lundi 6 juin, le procureur général, Aly Yeo, qui mène désormais les débats à la Cour d’assises d’Abidjan. « Oui, je dispos(ais) d’un cabinet installé au sein de la résidence présidentielle où travaill(ait) une trentaine de personnes », a alors répondu Simone Gbagbo.
L’ancienne Première dame a toutefois assuré que, bien qu’elle était entourée d’un aide de camp et d’une équipe composée de gendarmes et de militaires pour sa... suite de l'article sur Jeune Afrique
« Est-ce que vous aviez un cabinet ? », a notamment demandé, lundi 6 juin, le procureur général, Aly Yeo, qui mène désormais les débats à la Cour d’assises d’Abidjan. « Oui, je dispos(ais) d’un cabinet installé au sein de la résidence présidentielle où travaill(ait) une trentaine de personnes », a alors répondu Simone Gbagbo.
L’ancienne Première dame a toutefois assuré que, bien qu’elle était entourée d’un aide de camp et d’une équipe composée de gendarmes et de militaires pour sa... suite de l'article sur Jeune Afrique