La ministre de la Solidarité, de la Cohésion sociale et de l’Indemnisation des victimes de Côte d’Ivoire, Koné Mariatou, a appelé lundi à Abidjan les Ivoiriens en exil à rentrer au bercail estimant que la paix est revenue dans le pays.
"Que nos frères et soeurs réfugiés dans plusieurs pays de la sous-région reviennent au pays, la paix est revenue et le pays les attend", a déclaré Koné Mariatou à l’occasion de la célébration de la Journée mondiale des réfugiés.
Près de 250.000 Ivoiriens avaient fui leur pays au plus fort des affrontements post-électoraux qui ont fait officiellement 3.000 morts en Côte d’Ivoire.
Selon le HCR, au moins 50.000 Ivoiriens vivent encore dans les pays limitrophes, principalement au Liberia, au Ghana et au Togo malgré plusieurs vagues de rapatriement volontaire.
Koné Mariatou a affirmé que le mouvement va se poursuivre reconnaissant qu’il est nécessaire de mettre en place "une stratégie de solution durable pour éviter que les rapatriés deviennent des réfugiés dans leur propre pays".
Pour elle, le défi à relever est le passage de réfugié à celui de rapatrié pour un retour au pays natal dans la dignité.
"Etre refugié n’est pas un destin, ni une fatalité", soutient la ministre de la solidarité, de la Cohésion sociale et de l’Indemnisation des victimes, précisant que "ce n’est pas un choix non plus, c’est la conséquence de circonstances imprévisibles indépendante des individus et des communautés".
En avril, la ministre ivoirien de la Solidarité, de la Cohésion sociale et de l’Indemnisation des victimes, a séjourné au Liberia et au Ghana avec pour obtenir le rapatriement volontaire de milliers d’Ivoiriens qui se réfugient dans ce pays voisin depuis la crise post-électorale de 2010 en Côte d’Ivoire.
"Que nos frères et soeurs réfugiés dans plusieurs pays de la sous-région reviennent au pays, la paix est revenue et le pays les attend", a déclaré Koné Mariatou à l’occasion de la célébration de la Journée mondiale des réfugiés.
Près de 250.000 Ivoiriens avaient fui leur pays au plus fort des affrontements post-électoraux qui ont fait officiellement 3.000 morts en Côte d’Ivoire.
Selon le HCR, au moins 50.000 Ivoiriens vivent encore dans les pays limitrophes, principalement au Liberia, au Ghana et au Togo malgré plusieurs vagues de rapatriement volontaire.
Koné Mariatou a affirmé que le mouvement va se poursuivre reconnaissant qu’il est nécessaire de mettre en place "une stratégie de solution durable pour éviter que les rapatriés deviennent des réfugiés dans leur propre pays".
Pour elle, le défi à relever est le passage de réfugié à celui de rapatrié pour un retour au pays natal dans la dignité.
"Etre refugié n’est pas un destin, ni une fatalité", soutient la ministre de la solidarité, de la Cohésion sociale et de l’Indemnisation des victimes, précisant que "ce n’est pas un choix non plus, c’est la conséquence de circonstances imprévisibles indépendante des individus et des communautés".
En avril, la ministre ivoirien de la Solidarité, de la Cohésion sociale et de l’Indemnisation des victimes, a séjourné au Liberia et au Ghana avec pour obtenir le rapatriement volontaire de milliers d’Ivoiriens qui se réfugient dans ce pays voisin depuis la crise post-électorale de 2010 en Côte d’Ivoire.