Ouagadougou (Burkina) - Yamoussoukro, la capitale politique de la Côte d’Ivoire, abrite du 27 au 29 juillet, la cinquième conférence des Chefs d’Etat et de gouvernement sur le Traité d’Amitié et de Coopération(TAC) entre le Burkina Faso et la Côte d’Ivoire, a appris APA mercredi auprès du ministère des Affaires étrangères, de la coopération et des Burkinabè de l’extérieur.
Cette rencontre au sommet entre Roch Marc Christian Kaboré et Alassane Ouatarra, offre l’occasion aux autorités des deux pays voisins de « célébrer les liens immémoriaux qui unissent leurs deux peuples et d’explorer les opportunités de renforcement de leur coopération ».
Les Ivoiriens et les Burkinabè ont toujours entretenu des relations dictées par l’histoire, la géographie, la culture et l’économie.
Ces relations ont alterné des périodes de bonne collaboration et des périodes froides depuis les indépendances.
La récente crise diplomatique entre les deux pays, consécutivement à l’insurrection populaire de 2014 et le coup d’Etat de septembre 2015 au Burkina Faso, ainsi que les mandats d’arrêt internationaux lancés contre certains hauts responsables, n’ont pas permis la tenue effective des assises annuelles du TAC en 2015.
La tenue du 5ème sommet du TAC est le reflet de l’amitié et la confiance retrouvées entre les deux pays.
Pour les analystes, Yamoussoukro 2016 est "un signe annonciateur du nouveau départ chargé de beaucoup d’espoirs pour les relations séculaires qui unissent les deux pays frères ».
Pour atteindre les objectifs qu’il s’est fixés, le TAC s’appuie sur un certain nombre d’organes tels que des rencontres ministérielles sectorielles présidées par les chefs de gouvernement.
D'autres rencontres sont prévues entre les responsables des institutions nationales publiques et privées des deux pays et les experts et hauts fonctionnaires du ministère en charge des Affaires étrangères et de l’Intégration.
TT/od/APA
Cette rencontre au sommet entre Roch Marc Christian Kaboré et Alassane Ouatarra, offre l’occasion aux autorités des deux pays voisins de « célébrer les liens immémoriaux qui unissent leurs deux peuples et d’explorer les opportunités de renforcement de leur coopération ».
Les Ivoiriens et les Burkinabè ont toujours entretenu des relations dictées par l’histoire, la géographie, la culture et l’économie.
Ces relations ont alterné des périodes de bonne collaboration et des périodes froides depuis les indépendances.
La récente crise diplomatique entre les deux pays, consécutivement à l’insurrection populaire de 2014 et le coup d’Etat de septembre 2015 au Burkina Faso, ainsi que les mandats d’arrêt internationaux lancés contre certains hauts responsables, n’ont pas permis la tenue effective des assises annuelles du TAC en 2015.
La tenue du 5ème sommet du TAC est le reflet de l’amitié et la confiance retrouvées entre les deux pays.
Pour les analystes, Yamoussoukro 2016 est "un signe annonciateur du nouveau départ chargé de beaucoup d’espoirs pour les relations séculaires qui unissent les deux pays frères ».
Pour atteindre les objectifs qu’il s’est fixés, le TAC s’appuie sur un certain nombre d’organes tels que des rencontres ministérielles sectorielles présidées par les chefs de gouvernement.
D'autres rencontres sont prévues entre les responsables des institutions nationales publiques et privées des deux pays et les experts et hauts fonctionnaires du ministère en charge des Affaires étrangères et de l’Intégration.
TT/od/APA