Abidjan – Le Vème Traité d’Amitié et de Coopération entre la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso s’achève ce mercredi, à Yamoussoukro, par une Conférence au Sommet coprésidée par les présidents Alassane Ouattara et Roch Kaboré et qui entérinera les conclusions et recommandations des experts par la signature de 11 protocoles d’accords.
Ouvert lundi par les travaux d’experts, ce Traité devrait proposer des voies de solutions en matière de lutte contre le terrorisme dont les deux pays ont été victimes mais aussi à la relance de la coopération économique, éducative, culturelle « pour l’aboutissement d’un plan commun de développement profitable aux deux pays ».
En juillet 2014, à Ouagadougou, lors de la quatrième Conférence au Sommet du Traité d’Amitié et de Coopération ivoiro-burkinabé, les gouvernements des deux pays s’étaient engagés à renforcer les fondations de la coopération et de la fraternité liant leurs peuples. Cette Conférence a été sanctionnée par la signature d’accords et la prise de décisions et recommandations dont le protocole d’accord portant création d’un comité conjoint de suivi et d’évaluation des décisions et recommandations du Traité d’Amitié et de Coopération qui lie les deux pays.
En prélude à la Conférence au Sommet, les travaux des experts ont abouti à l’élaboration d’un projet de communiqué conjoint examiné jeudi par un Conseil conjoint de gouvernements. La Conférence au Sommet devrait donc ouvrir des pistes pour la concrétisation de certains projets définis lors du TAC 4, notamment, la construction de l’autoroute Yamoussoukro-Ouagadougou, la réhabilitation du chemin de fer Abidjan-Ouagadougou-Kaya, la construction d’une nouvelle voie ferroviaire Kaya et Tambao, l’approvisionnement régulier du Burkina Faso en énergie électrique et en hydrocarbures par la Côte d’Ivoire, la mise en œuvre du programme de facilitation du commerce, le transit et le transport sur le corridor Abidjan Ouagadougou, la lutte contre la traite transfrontalière des enfants entre les deux pays, la matérialisation des frontières et le processus d’évacuation du Mont Péko.
(AIP)
aaa/akn/ask
Ouvert lundi par les travaux d’experts, ce Traité devrait proposer des voies de solutions en matière de lutte contre le terrorisme dont les deux pays ont été victimes mais aussi à la relance de la coopération économique, éducative, culturelle « pour l’aboutissement d’un plan commun de développement profitable aux deux pays ».
En juillet 2014, à Ouagadougou, lors de la quatrième Conférence au Sommet du Traité d’Amitié et de Coopération ivoiro-burkinabé, les gouvernements des deux pays s’étaient engagés à renforcer les fondations de la coopération et de la fraternité liant leurs peuples. Cette Conférence a été sanctionnée par la signature d’accords et la prise de décisions et recommandations dont le protocole d’accord portant création d’un comité conjoint de suivi et d’évaluation des décisions et recommandations du Traité d’Amitié et de Coopération qui lie les deux pays.
En prélude à la Conférence au Sommet, les travaux des experts ont abouti à l’élaboration d’un projet de communiqué conjoint examiné jeudi par un Conseil conjoint de gouvernements. La Conférence au Sommet devrait donc ouvrir des pistes pour la concrétisation de certains projets définis lors du TAC 4, notamment, la construction de l’autoroute Yamoussoukro-Ouagadougou, la réhabilitation du chemin de fer Abidjan-Ouagadougou-Kaya, la construction d’une nouvelle voie ferroviaire Kaya et Tambao, l’approvisionnement régulier du Burkina Faso en énergie électrique et en hydrocarbures par la Côte d’Ivoire, la mise en œuvre du programme de facilitation du commerce, le transit et le transport sur le corridor Abidjan Ouagadougou, la lutte contre la traite transfrontalière des enfants entre les deux pays, la matérialisation des frontières et le processus d’évacuation du Mont Péko.
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