Yamoussoukro - Quelque 2000 milliards F CFA vont être nécessaires pour la réalisation de l’autoroute menant de Yamoussoukro jusqu’à Ouagadougou au Burkina Faso, a indiqué vendredi à Yamoussoukro, le ministre ivoirien des Affaires Etrangères, Albert Mabri Toikeusse, au terme de la cinquième rencontre au sommet du traité d’amitié et de coopération (TAC) entre la Côte d’Ivoire et le Burkina-Faso.
Lors d’un point de presse avec son homologue du Burkina, Alpha Barry, le chef de la diplomatie ivoirienne a expliqué que les deux parties sont engagées dans la recherche du financement auprès de certains pays mais également avec les instruments de financement de développement, notamment la banque africaine de développement (BAD).
Selon Mabri Toikeusse, de la disponibilité des financements, va dépendre l’échéance pour la réalisation de cette infrastructure importante pour les deux pays. "Ce que nous nous sommes engagés à faire, c’est faire en sorte que d’ici le prochain sommet tous les tronçons aient bénéficiés d’études correctes qui nous permettent de mobiliser les ressources mais déjà, nous avons quelques financements identifiés et nous allons commencer les négociations même si les études ne sont pas encore achevées", a-t-il indiqué.
Il a par ailleurs estimé que le chemin de fer, notamment la première phase va couter environ 130 milliards F CFA en attendant la seconde phase estimée à 270 milliards F CFA qu’il faudra mobiliser pour terminer les travaux.
Pour les hydrocarbures, a expliqué M. Mabri, le Burkina-Faso aura 10% dans le capital hormis les pays intéressés par le projet pour entrer dans le capital.
L’ensemble du projet pour le chemin de fer est de 400 millions d’euro dont 30 millions seront investis dans les deux années à venir et le reste, c’est-à-dire 270 millions d’euro, le seront les quatre années suivantes, a ajouté pour sa part, le ministre burkinabé des Affaires Étrangères, Alpha Barry.
Les travaux de la 4ème rencontre au sommet du TAC à Ouagadougou avaient admis entre autres, la nécessité pour la Côte d’Ivoire et le Burkina de mettre en œuvre le projet de réalisation d’une autoroute d’Abidjan à Ouagadougou, la réhabilitation du chemin de fer Abidjan-Ouagadougou-Kaya et son prolongement jusqu’à Tambao, ainsi que des modalités de fourniture d’électricité et d’hydrocarbures de la Côte d’Ivoire au Burkina-Faso.
gak/kam
Lors d’un point de presse avec son homologue du Burkina, Alpha Barry, le chef de la diplomatie ivoirienne a expliqué que les deux parties sont engagées dans la recherche du financement auprès de certains pays mais également avec les instruments de financement de développement, notamment la banque africaine de développement (BAD).
Selon Mabri Toikeusse, de la disponibilité des financements, va dépendre l’échéance pour la réalisation de cette infrastructure importante pour les deux pays. "Ce que nous nous sommes engagés à faire, c’est faire en sorte que d’ici le prochain sommet tous les tronçons aient bénéficiés d’études correctes qui nous permettent de mobiliser les ressources mais déjà, nous avons quelques financements identifiés et nous allons commencer les négociations même si les études ne sont pas encore achevées", a-t-il indiqué.
Il a par ailleurs estimé que le chemin de fer, notamment la première phase va couter environ 130 milliards F CFA en attendant la seconde phase estimée à 270 milliards F CFA qu’il faudra mobiliser pour terminer les travaux.
Pour les hydrocarbures, a expliqué M. Mabri, le Burkina-Faso aura 10% dans le capital hormis les pays intéressés par le projet pour entrer dans le capital.
L’ensemble du projet pour le chemin de fer est de 400 millions d’euro dont 30 millions seront investis dans les deux années à venir et le reste, c’est-à-dire 270 millions d’euro, le seront les quatre années suivantes, a ajouté pour sa part, le ministre burkinabé des Affaires Étrangères, Alpha Barry.
Les travaux de la 4ème rencontre au sommet du TAC à Ouagadougou avaient admis entre autres, la nécessité pour la Côte d’Ivoire et le Burkina de mettre en œuvre le projet de réalisation d’une autoroute d’Abidjan à Ouagadougou, la réhabilitation du chemin de fer Abidjan-Ouagadougou-Kaya et son prolongement jusqu’à Tambao, ainsi que des modalités de fourniture d’électricité et d’hydrocarbures de la Côte d’Ivoire au Burkina-Faso.
gak/kam