13 accords dans le domaine de la fourniture de l’électricité, du commerce, de la formation professionnelle, de l’éducation, des services aériens, de l’agriculture, du transport ferroviaire, de la culture, de la recherche scientifique ont été signés vendredi dernier au terme de la 5ème conférence au sommet du Traité d’Amitié et de Coopération (TAC) entre la République de Côte d’Ivoire et celle du Burkina Faso.
Pour le Chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara, il faut aller au-delà de ces accords qui permettront, en plus de ceux existant, de renforcer les relations entre les deux pays. «Il nous reste encore des efforts à accomplir dans bien des domaines », a-t-il relevé invitant les Ministres à poursuivre leurs concertations régulières, afin de conduire les Accords, les projets et les recommandations à des résultats concrets, qui impacteront positivement la vie de leurs populations. Dès lors, estime le président Ouattara, les projets de construction de l’autoroute Yamoussoukro-Ouagadougou; la réhabilitation du chemin de fer Abidjan-Ouagadougou-Kaya et la construction d’une nouvelle voie ferroviaire de Kaya à Tambao ; l’approvisionnement régulier du Burkina Faso en énergie électrique et en hydrocarbures par la Côte d’Ivoire ; la mise en œuvre du programme de facilitation du commerce, du transit et du transport sur le corridor Abidjan-Ouagadougou ; la lutte contre la traite transfrontalière des enfants entre la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso; la matérialisation des frontières ; le processus d’évacuation du Mont Péko, qui viennent d’être paraphés, doivent se traduire dans les actes. « Le Gouvernement du Burkina Faso ne ménagera aucun effort pour la mise en œuvre réussie des décisions et recommandations qui seront arrêtées à l’issue de la rencontre au Sommet entre nos deux (02) Chefs d’Etat », a rassuré Paul Kaba Thieba, premier ministre burkinabé.
JEN
Pour le Chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara, il faut aller au-delà de ces accords qui permettront, en plus de ceux existant, de renforcer les relations entre les deux pays. «Il nous reste encore des efforts à accomplir dans bien des domaines », a-t-il relevé invitant les Ministres à poursuivre leurs concertations régulières, afin de conduire les Accords, les projets et les recommandations à des résultats concrets, qui impacteront positivement la vie de leurs populations. Dès lors, estime le président Ouattara, les projets de construction de l’autoroute Yamoussoukro-Ouagadougou; la réhabilitation du chemin de fer Abidjan-Ouagadougou-Kaya et la construction d’une nouvelle voie ferroviaire de Kaya à Tambao ; l’approvisionnement régulier du Burkina Faso en énergie électrique et en hydrocarbures par la Côte d’Ivoire ; la mise en œuvre du programme de facilitation du commerce, du transit et du transport sur le corridor Abidjan-Ouagadougou ; la lutte contre la traite transfrontalière des enfants entre la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso; la matérialisation des frontières ; le processus d’évacuation du Mont Péko, qui viennent d’être paraphés, doivent se traduire dans les actes. « Le Gouvernement du Burkina Faso ne ménagera aucun effort pour la mise en œuvre réussie des décisions et recommandations qui seront arrêtées à l’issue de la rencontre au Sommet entre nos deux (02) Chefs d’Etat », a rassuré Paul Kaba Thieba, premier ministre burkinabé.
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