La rentrée scolaire 2016-2017 s’est effectuée officiellement, mardi, avec une ‘’timidité générale’’ dans la plupart des écoles de la capitale économique ivoirienne, a constaté un journaliste de APA sur place.
De la commune d’Abobo (Nord d’Abidjan) à celle du Plateau, le quartier administratif et des affaires en passant par la commune d’Adjamé (Centre), une rareté d’élèves dans les rues frappe à l’œil, ne faisant pas penser à un jour de rentrée des classes.
A l’école primaire publique (EPP) BAD (Banque africaine de développement) d’Abobo Banco, quelques enfants jouent dans une ‘’ambiance pas digne des grands jours de rentrée’’, selon Daouda Cissé, habitant en face de cette école.
‘’Ce n’est pas surprenant qu’au lendemain d’une fête on ait une rentrée scolaire timide’’, explique un enseignant, faisant référence à la fête de la Tabaski, la deuxième grande fête musulmane, célébrée la veille. ‘’Les quelques élèves que vous voyez dans la cour de l’école sont certainement d’autres confessions religieuses’’, ajoute-t-il.
Pour lui, cette timidité pourra être observée durant toute cette semaine. ‘’La fête passée, c’est maintenant que les parents vont faire face aux charges de la rentrée’’, conclut cet enseignant.
Au collège moderne du Plateau, le constat est similaire. La même timidité est observée. ‘’La rentrée est effective, mais comme vous le constatez les élèves font défaut’’, renchérit un autre enseignant, soulignant que ‘’généralement le début de la rentrée est consacré aux prises de contact avec les élèves selon les emplois du temps’’.
La rentrée scolaire 2016-2017 avait été fixée au lundi 12 septembre avant d’être reportée au mardi 13 septembre en raison de la célébration de la fête de la Tabaski ou l’Aid-el-Kébir.
Cette rentrée est marquée au primaire par la prise en compte de la matinée de mercredi dans l’emploi du temps.
LS/APA
De la commune d’Abobo (Nord d’Abidjan) à celle du Plateau, le quartier administratif et des affaires en passant par la commune d’Adjamé (Centre), une rareté d’élèves dans les rues frappe à l’œil, ne faisant pas penser à un jour de rentrée des classes.
A l’école primaire publique (EPP) BAD (Banque africaine de développement) d’Abobo Banco, quelques enfants jouent dans une ‘’ambiance pas digne des grands jours de rentrée’’, selon Daouda Cissé, habitant en face de cette école.
‘’Ce n’est pas surprenant qu’au lendemain d’une fête on ait une rentrée scolaire timide’’, explique un enseignant, faisant référence à la fête de la Tabaski, la deuxième grande fête musulmane, célébrée la veille. ‘’Les quelques élèves que vous voyez dans la cour de l’école sont certainement d’autres confessions religieuses’’, ajoute-t-il.
Pour lui, cette timidité pourra être observée durant toute cette semaine. ‘’La fête passée, c’est maintenant que les parents vont faire face aux charges de la rentrée’’, conclut cet enseignant.
Au collège moderne du Plateau, le constat est similaire. La même timidité est observée. ‘’La rentrée est effective, mais comme vous le constatez les élèves font défaut’’, renchérit un autre enseignant, soulignant que ‘’généralement le début de la rentrée est consacré aux prises de contact avec les élèves selon les emplois du temps’’.
La rentrée scolaire 2016-2017 avait été fixée au lundi 12 septembre avant d’être reportée au mardi 13 septembre en raison de la célébration de la fête de la Tabaski ou l’Aid-el-Kébir.
Cette rentrée est marquée au primaire par la prise en compte de la matinée de mercredi dans l’emploi du temps.
LS/APA