Bouaké - La rentrée scolaire 2016-2017 a démarré timidement dans certains établissements d’enseignement secondaire et primaire général, mardi, à Bouaké, avec une absence notable des élèves dans les salles de classe, a constaté l’AIP sur place.
Le proviseur du lycée moderne TSF, Akpa Séraphin et collègue de Djibo Sounkalo, Traoré Nouhoun, ont indiqué pour ce qui les concerne que les emplois du temps ont été déjà établis et distribués aux enseignants qui ont répondu effectivement à l’appel, mais la plupart des élèves présents poursuivent les formalités d’inscription physique et ne sont pas entrés dans les classes. Le premier a révélé que 17% de son effectif de 2930 élèves ont déjà achevé leur inscription physique et 77,74 l’inscription en ligne. Quant au second, il dit avoir enregistré 5201 élèves inscrits en ligne sur 7517 attendus.
«Le déroulement des cours primes», a affirmé M. Akpa qui a établi un programme de passage par niveau pour permettre aux élèves de s’inscrire parallèlement au déroulement des cours. Il invite les parents à «obliger leurs enfants à venir à l’école».
Pour sa part, leur collègue du lycée classique Fofana Mamadou annonce que les cours ont effectivement démarré avec les élèves présents. Au titre de l’inscription, il relève que 1587 élèves l’ont déjà effectuée en ligne sur un effectif de 2500 attendus.
Par ailleurs, au niveau des écoles primaires publiques comme celles du groupe scolaire TSF-BASSA, le problème d’inscription ne se pose pas mais les élèves étaient également absents. «Les classes sont ouvertes mais les élèves se comptent au bout des doigts on ne sait pourquoi», a confié la directrice adjointe de l’école 1 de ce groupe scolaire, Mme Konan Véronique. Elle rappelle que «les vacances sont terminées» et invite les élèves à la reprise des cours.
Au niveau de certaines écoles secondaires privées comme Saint-Viateur, le Berger et Victor Hugo, les classes ne sont pas encore ouvertes. L’on est encore au stade des inscriptions. En témoigne la rentrée fixée au 19 septembre pour l’établissement Saint-Viateur et les propos de l’éducateur de Victor Hugo, Sako Aboudramane, qui affirme que «les parents traînent les pas pour des raisons financières».
nbf/ask
Le proviseur du lycée moderne TSF, Akpa Séraphin et collègue de Djibo Sounkalo, Traoré Nouhoun, ont indiqué pour ce qui les concerne que les emplois du temps ont été déjà établis et distribués aux enseignants qui ont répondu effectivement à l’appel, mais la plupart des élèves présents poursuivent les formalités d’inscription physique et ne sont pas entrés dans les classes. Le premier a révélé que 17% de son effectif de 2930 élèves ont déjà achevé leur inscription physique et 77,74 l’inscription en ligne. Quant au second, il dit avoir enregistré 5201 élèves inscrits en ligne sur 7517 attendus.
«Le déroulement des cours primes», a affirmé M. Akpa qui a établi un programme de passage par niveau pour permettre aux élèves de s’inscrire parallèlement au déroulement des cours. Il invite les parents à «obliger leurs enfants à venir à l’école».
Pour sa part, leur collègue du lycée classique Fofana Mamadou annonce que les cours ont effectivement démarré avec les élèves présents. Au titre de l’inscription, il relève que 1587 élèves l’ont déjà effectuée en ligne sur un effectif de 2500 attendus.
Par ailleurs, au niveau des écoles primaires publiques comme celles du groupe scolaire TSF-BASSA, le problème d’inscription ne se pose pas mais les élèves étaient également absents. «Les classes sont ouvertes mais les élèves se comptent au bout des doigts on ne sait pourquoi», a confié la directrice adjointe de l’école 1 de ce groupe scolaire, Mme Konan Véronique. Elle rappelle que «les vacances sont terminées» et invite les élèves à la reprise des cours.
Au niveau de certaines écoles secondaires privées comme Saint-Viateur, le Berger et Victor Hugo, les classes ne sont pas encore ouvertes. L’on est encore au stade des inscriptions. En témoigne la rentrée fixée au 19 septembre pour l’établissement Saint-Viateur et les propos de l’éducateur de Victor Hugo, Sako Aboudramane, qui affirme que «les parents traînent les pas pour des raisons financières».
nbf/ask