Agboville – La directrice régionale de l’Education nationale (DREN) d’Agboville, Diaby Fanta, s’est fait fort d’expliquer aux acteurs et partenaires du système éducatif de la région de l’Agnéby-Tiassa, le bienfondé et l’impact positif que revêt le retour des cours le mercredi matin dans l’enseignement primaire.
Selon Mme Diaby, trois raisons fondamentales président à ce retour, notamment les multiples rapports sur le système éducatif du pays qui ont révélé que 70% à 80% des écoliers ne savent plus lire, calculer ni même écrire, l’introduction de nouvelles matières dont les TICE (Technologie de l’information et de la communication à l’école) et l’entrepreneuriat scolaire, le trop court temps passé à l’école en Côte d’Ivoire par rapport aux normes internationales.
Sur ce troisième point, la DREN a expliqué aux autorités administratives, politiques, coutumières et religieuses, ainsi qu’aux acteurs du système éducatif local présents mercredi à la cérémonie de distribution de kits scolaires aux élèves des trois IEP d’Agboville, que "chez nous, nous étions pendant longtemps à quatre jours de cours, pendant que le reste du monde y compris certains pays africains dont le Burkina Faso, étaient à cinq jours".
"Pendant que le reste de l’humanité se situe entre 1.000 et 1.900 heures de cours, nous sommes seulement à 900 petites heures, d’où l’importance du retour de la journée de mercredi dans l’emploi du temps de l’école primaire, pour passer au moins à 990 heures et se rapprocher un tant soit peu des 1.000 heures au moins qu’imposent les normes internationales", a souligné la première responsable de l’école dans l’Agnéby-Tiassa.
(AIP)
ja/kam
Selon Mme Diaby, trois raisons fondamentales président à ce retour, notamment les multiples rapports sur le système éducatif du pays qui ont révélé que 70% à 80% des écoliers ne savent plus lire, calculer ni même écrire, l’introduction de nouvelles matières dont les TICE (Technologie de l’information et de la communication à l’école) et l’entrepreneuriat scolaire, le trop court temps passé à l’école en Côte d’Ivoire par rapport aux normes internationales.
Sur ce troisième point, la DREN a expliqué aux autorités administratives, politiques, coutumières et religieuses, ainsi qu’aux acteurs du système éducatif local présents mercredi à la cérémonie de distribution de kits scolaires aux élèves des trois IEP d’Agboville, que "chez nous, nous étions pendant longtemps à quatre jours de cours, pendant que le reste du monde y compris certains pays africains dont le Burkina Faso, étaient à cinq jours".
"Pendant que le reste de l’humanité se situe entre 1.000 et 1.900 heures de cours, nous sommes seulement à 900 petites heures, d’où l’importance du retour de la journée de mercredi dans l’emploi du temps de l’école primaire, pour passer au moins à 990 heures et se rapprocher un tant soit peu des 1.000 heures au moins qu’imposent les normes internationales", a souligné la première responsable de l’école dans l’Agnéby-Tiassa.
(AIP)
ja/kam