C’est ce mardi 20 septembre 2016 à l’Hôtel Ivotel Plateau, que le ministre Sidi Tiémoko Touré a ouvert l’atelier de réflexion sur « le programme national d’insertion socio-économique et d’autonomisation de la jeune femme ».
Les différentes crises qu’a connues la Côte d’Ivoire ont rendu précaire le statut socio-économique des jeunes femmes. Selon les récentes enquêtes emploi de l’Institut National de la Statistique (INS), les femmes représentent près de 55% des personnes au chômage en Côte d’Ivoire. Toute fois 60 à 80% de la production alimentaire est assurée par les femmes.
Cependant, « elles ne bénéficient ni du fruit de leur travail, ni même du pouvoir de contrôle de la gestion qui devrait leur revenir », a déploré le ministre Sidi Touré.
C’est pour améliorer la situation des jeunes femmes ivoiriennes que le gouvernement a retenu de formuler et mettre en œuvre ce programme ambitieux.
Pour le ministre Sidi Touré, les travaux de réflexion doivent accorder une priorité au développement de l’employabilité des jeunes femmes. Ceci passera par des programmes de formation et d’apprentissage adaptés à leurs besoins, à la promotion et la création des entreprises féminines durables.
L’initiative est du ministère de la Promotion de la Jeunesse, de l’Emploi Jeunes et du Service Civique, épaulé par le Bureau Internationale du Travail (BIT) et d’autres partenaires.
Les différentes crises qu’a connues la Côte d’Ivoire ont rendu précaire le statut socio-économique des jeunes femmes. Selon les récentes enquêtes emploi de l’Institut National de la Statistique (INS), les femmes représentent près de 55% des personnes au chômage en Côte d’Ivoire. Toute fois 60 à 80% de la production alimentaire est assurée par les femmes.
Cependant, « elles ne bénéficient ni du fruit de leur travail, ni même du pouvoir de contrôle de la gestion qui devrait leur revenir », a déploré le ministre Sidi Touré.
C’est pour améliorer la situation des jeunes femmes ivoiriennes que le gouvernement a retenu de formuler et mettre en œuvre ce programme ambitieux.
Pour le ministre Sidi Touré, les travaux de réflexion doivent accorder une priorité au développement de l’employabilité des jeunes femmes. Ceci passera par des programmes de formation et d’apprentissage adaptés à leurs besoins, à la promotion et la création des entreprises féminines durables.
L’initiative est du ministère de la Promotion de la Jeunesse, de l’Emploi Jeunes et du Service Civique, épaulé par le Bureau Internationale du Travail (BIT) et d’autres partenaires.