Abidjan (Côte d’Ivoire) - Malade de diabète, l’artiste-chanteur ivoirien mordu du reggae, Larry Cheick a été amputé d’une jambe dans une clinique d’Abidjan où il doit ses soins à la méga star Alpha Bondy.
Dans un entretien à APA, Larry Cheick interné à la Polyclinique internationale Sainte-Anne-Marie (PISAM, établissement privé de renom) dit devoir ses soins à la méga star, Alpha Blondy ‘’m’a sauvé d’une situation’’.
‘’C’est Alpha Blondy, même qui m’a envoyé ici à ses frais. Il n’y a pas eu d’intermédiaires et je suis pris en charge à 100%. Je bénéficie de tous les grands soins qu’il me faut (…) .Je laisse Dieu le remercier à ma place. Il m’a donné cette force de vivre depuis que je suis à la PISAM ’’, témoigne le reaggeman, amputé de la jambe gauche.
La voix nouée, Larry Cheick un peu amaigri affirme trainer cette situation depuis huit années. Il était suivi par un médecin. ‘’Depuis huit ans, je souffre de diabète. J’avais entre 150 000 à 200 000 FCFA de soins mensuels jusqu'à ce que je craque ’’, explique la star ivoirienne.
Poursuivant, il ajoute avoir été ‘’victime d’une blessure bénigne’’ qui s’est infectée plus tard. ‘’Ma bouteille de parfum s’est cassée à la maison, j’ai marché là-dessus et me suis fait piquer (…) avec une blessure .Mon pied a commencé à s’infecter’’, souligne Larry Cheick.
Avant son admission à la PISAM, l’artiste est passé par l’hôpital d’Angré et Centre hospitalier universitaire (CHU) de Cocody et ce, grâce à son ami Kuibert Coulibaly. Sourire aux lèvres dans une blouse blanche et assis sur son lit d’hôpital, Larry Cheick rassure ses fans.
‘‘Il faut que mes fans cessent de pleurer. Je les aime et qu’ils arrêtent de pleurer. C’est l’éternel qui a décidé ainsi. Vous m’avez trouvé avec un esprit très positif. Quand je sortirai d’ici, je marcherais et je vais chanter pour eux. On va me mettre une prothèse et je vais danser pour eux », poursuit Larry Cheick, reconnaissant à ses bienfaiteurs.
Dans sa chambre d’hospitalisation, l’artiste ne cesse de ‘’distribuer’’ sa bonne humeur aux infirmiers et autres visiteurs qui se succèdent. ‘’J’ai une foi inébranlable, je suis accroché à l’éternel depuis mon enfance. Mon père était Imam (…).C’est Dieu donc ma foi actuellement’’, insiste-t-il.
‘’Je demande à mes fans et à tous ceux qui m’aiment de ne pas écouter les ragots parce que les gens racontent n’importe quoi. Je vais bien et je reviendrai bientôt sur scène’’, conclut l’auteur de ‘’Djandjou Star’’, mettant en scène ‘’Férima’’.
MC/sy/ls
Dans un entretien à APA, Larry Cheick interné à la Polyclinique internationale Sainte-Anne-Marie (PISAM, établissement privé de renom) dit devoir ses soins à la méga star, Alpha Blondy ‘’m’a sauvé d’une situation’’.
‘’C’est Alpha Blondy, même qui m’a envoyé ici à ses frais. Il n’y a pas eu d’intermédiaires et je suis pris en charge à 100%. Je bénéficie de tous les grands soins qu’il me faut (…) .Je laisse Dieu le remercier à ma place. Il m’a donné cette force de vivre depuis que je suis à la PISAM ’’, témoigne le reaggeman, amputé de la jambe gauche.
La voix nouée, Larry Cheick un peu amaigri affirme trainer cette situation depuis huit années. Il était suivi par un médecin. ‘’Depuis huit ans, je souffre de diabète. J’avais entre 150 000 à 200 000 FCFA de soins mensuels jusqu'à ce que je craque ’’, explique la star ivoirienne.
Poursuivant, il ajoute avoir été ‘’victime d’une blessure bénigne’’ qui s’est infectée plus tard. ‘’Ma bouteille de parfum s’est cassée à la maison, j’ai marché là-dessus et me suis fait piquer (…) avec une blessure .Mon pied a commencé à s’infecter’’, souligne Larry Cheick.
Avant son admission à la PISAM, l’artiste est passé par l’hôpital d’Angré et Centre hospitalier universitaire (CHU) de Cocody et ce, grâce à son ami Kuibert Coulibaly. Sourire aux lèvres dans une blouse blanche et assis sur son lit d’hôpital, Larry Cheick rassure ses fans.
‘‘Il faut que mes fans cessent de pleurer. Je les aime et qu’ils arrêtent de pleurer. C’est l’éternel qui a décidé ainsi. Vous m’avez trouvé avec un esprit très positif. Quand je sortirai d’ici, je marcherais et je vais chanter pour eux. On va me mettre une prothèse et je vais danser pour eux », poursuit Larry Cheick, reconnaissant à ses bienfaiteurs.
Dans sa chambre d’hospitalisation, l’artiste ne cesse de ‘’distribuer’’ sa bonne humeur aux infirmiers et autres visiteurs qui se succèdent. ‘’J’ai une foi inébranlable, je suis accroché à l’éternel depuis mon enfance. Mon père était Imam (…).C’est Dieu donc ma foi actuellement’’, insiste-t-il.
‘’Je demande à mes fans et à tous ceux qui m’aiment de ne pas écouter les ragots parce que les gens racontent n’importe quoi. Je vais bien et je reviendrai bientôt sur scène’’, conclut l’auteur de ‘’Djandjou Star’’, mettant en scène ‘’Férima’’.
MC/sy/ls