Abidjan - Des syndicats d'enseignants ont réaffirmé, jeudi à Abidjan, adhérer à la semaine de travail de cinq jours intégrant les cours les mercredis matin dans les écoles primaires, notamment la Fédération des enseignants du secteur éducation formation (FESEFCI), la Fédération des instituteurs pour la revalorisation de l’école en Côte d’Ivoire (FIRECI), le Syndicat national de l’enseignement primaire public de Côte d’Ivoire (SNEPPCI) et la Coordination des instituteurs adjoints de Côte d’Ivoire (CIACI).
« Il était question que nous donnions notre position de manière claire. Nous avons réaffirmé notre position que nous avons déjà annoncée, position de respecter la décision qui a été prise par l’Etat de Côte d’Ivoire », a indiqué le secrétaire national du SNEPPCI, Gnolou Paul, par ailleurs porte- parole de ces syndicats, à leur sortie de rencontre avec le ministre de la Fonction publique et de la Modernisation de l’Administration, Abinan Kouakou Pascal.
« Nous pensons que à partir du moment où le gouvernement a entériné l’arrêté pris par le ministre de l’Education nationale, c’est une décision qui doit s’appliquer. Nous lançons l’appel à tous nos camarades, à tous les enseignants de respecter cette décision et de dispenser les cours le mercredi. Nous les invitons donc à aller à l’école les mercredis et d’effectivement faire les cours », a-t-il lancé par ailleurs.
Pour le ministre de la Fonction publique et de la Modernisation de l’Administration, Abinan Kouakou Pascal, l’attitude de « ces syndicats responsables qui pensent à l’avenir de nos enfants » est à saluer. « La Côte d’Ivoire va à l’émergence en 2020. Il faut que le gouvernement se donne les moyens pour y arriver. L’une de ses mesures c’est celle-là, les cours de mercredi matin pour que la Côte d’Ivoire soit aux normes internationales en termes de quantum horaire », a-t-il estimé.
Il a expliqué que les syndicats réfractaires à cette mesure, notamment le mouvement des instituteurs pour la défense de leurs droits (MIDD) se verront contraints. « Le bâton demeure, Quand l’employé refuse de mettre en œuvre la mesure prise par son employeur, il y a deux attitudes, soit il rend sa démission, soit il applique la mesure même si elle ne lui plait pas. Nous pensons que s’ils (MIDD) ne changent pas, nous on va les changer », a averti M. Abinan.
Le MIDD récuse la semaine de cinq jours intégrant les cours les mercredis matin dans les écoles primaires adoptée par le gouvernement, afin de permettre à la Côte d'Ivoire d'être aux normes internationales en matière de volume horaire.
gak/ask
« Il était question que nous donnions notre position de manière claire. Nous avons réaffirmé notre position que nous avons déjà annoncée, position de respecter la décision qui a été prise par l’Etat de Côte d’Ivoire », a indiqué le secrétaire national du SNEPPCI, Gnolou Paul, par ailleurs porte- parole de ces syndicats, à leur sortie de rencontre avec le ministre de la Fonction publique et de la Modernisation de l’Administration, Abinan Kouakou Pascal.
« Nous pensons que à partir du moment où le gouvernement a entériné l’arrêté pris par le ministre de l’Education nationale, c’est une décision qui doit s’appliquer. Nous lançons l’appel à tous nos camarades, à tous les enseignants de respecter cette décision et de dispenser les cours le mercredi. Nous les invitons donc à aller à l’école les mercredis et d’effectivement faire les cours », a-t-il lancé par ailleurs.
Pour le ministre de la Fonction publique et de la Modernisation de l’Administration, Abinan Kouakou Pascal, l’attitude de « ces syndicats responsables qui pensent à l’avenir de nos enfants » est à saluer. « La Côte d’Ivoire va à l’émergence en 2020. Il faut que le gouvernement se donne les moyens pour y arriver. L’une de ses mesures c’est celle-là, les cours de mercredi matin pour que la Côte d’Ivoire soit aux normes internationales en termes de quantum horaire », a-t-il estimé.
Il a expliqué que les syndicats réfractaires à cette mesure, notamment le mouvement des instituteurs pour la défense de leurs droits (MIDD) se verront contraints. « Le bâton demeure, Quand l’employé refuse de mettre en œuvre la mesure prise par son employeur, il y a deux attitudes, soit il rend sa démission, soit il applique la mesure même si elle ne lui plait pas. Nous pensons que s’ils (MIDD) ne changent pas, nous on va les changer », a averti M. Abinan.
Le MIDD récuse la semaine de cinq jours intégrant les cours les mercredis matin dans les écoles primaires adoptée par le gouvernement, afin de permettre à la Côte d'Ivoire d'être aux normes internationales en matière de volume horaire.
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