Séguéla – Le Lycée moderne de Séguéla souffre d'un manque criant de personnel d’encadrement, a constaté l’AIP.
Officiellement, il n’y a plus de censeur. Le seul de cet établissement de plus de 4500 élèves ayant été promu principal à Taabo, dans la région de l’Agnéby-Tiassa. Pour pallier le vide, un professeur d’histoire et géographie, Abé Guy Romain, à ses heures creuses, joue le rôle d’Adjoint au chef d’établissement (ACE) de circonstance.
Le ratio national étant d’un censeur pour 15 classes, il faudrait donc quatre à cinq ACE pour ce lycée qui compte 68 classes pédagogiques. Il n'y a que quatre éducateurs alors que le ratio est d’un éducateur pour 280 élèves.
Ce déficit criant, conjugué au manque d'enseignants et aux effectifs pléthoriques, a un impact négatif sur les performances des apprenants qui baissent d’année en année. Au Brevet d’études du premier cycle (BEPC), les résultats de 2014 à 2016 sont respectivement de 63%, 52% et 31%.
kkp/ask
Officiellement, il n’y a plus de censeur. Le seul de cet établissement de plus de 4500 élèves ayant été promu principal à Taabo, dans la région de l’Agnéby-Tiassa. Pour pallier le vide, un professeur d’histoire et géographie, Abé Guy Romain, à ses heures creuses, joue le rôle d’Adjoint au chef d’établissement (ACE) de circonstance.
Le ratio national étant d’un censeur pour 15 classes, il faudrait donc quatre à cinq ACE pour ce lycée qui compte 68 classes pédagogiques. Il n'y a que quatre éducateurs alors que le ratio est d’un éducateur pour 280 élèves.
Ce déficit criant, conjugué au manque d'enseignants et aux effectifs pléthoriques, a un impact négatif sur les performances des apprenants qui baissent d’année en année. Au Brevet d’études du premier cycle (BEPC), les résultats de 2014 à 2016 sont respectivement de 63%, 52% et 31%.
kkp/ask