Les généraux Brindou M’bia, Édouard Kassaraté, Philippe Mangou ainsi que l’ex-Premier ministre Jeannot Ahoussou et Charles Koffi Diby, témoins de la défense de Simone Gbagbo, sont appelés à comparaître le 16 novembre, devant la Cour d’assises, a annoncé, mercredi, le président de cette juridiction, Boiqui Kouadjo.
Le président de la Cour, ayant constaté l’absence des ’’témoins listés’’ par la défense de l’accusée, Simone Gbagbo, a communiqué, séance tenante un calendrier de passage à la barre des témoins de la défense pour l’audition qui commence ’’le 7 novembre’’ avec huit témoins dont Aboubacar Koné, directeur du protocole d’Etat au moment des faits.
’’Les témoins dont nous demandons la comparution sont des témoins clés. Ils sont là pour la manifestation de la vérité. (...) Les Ivoiriens ont besoin de savoir ce qui s’est passé. Les acteurs de la crise sont là. M. Soro Guillaume qui a décrété la marche du 16 décembre 2010. M. Brindou M’bia est toujours en poste. Ils doivent expliquer ce qui s’est réellement passé ce jour-là’’, a insisté Me Blédé Dohoura.
Selon le calendrier établi par la Cour, ’’MM. Brindou M’bia, Jeannot Ahoussou Kouadio, Mangou Philippe, Kassaraté Édouard, Diby Koffi Charles et Soro Kigbafori Guillaume... ’’ Comparaitront pour leur témoignage le mercredi 16 novembre.
’’J’espère que tout sera mis en œuvre pour que ces personnes soient présentes aux dates indiquées’’, a dit le juge Boiqui promettant ’’d’aviser’’ si elles ne présenteraient pas’’.
Les généraux Brindou M’bia, Phillipe Mangou, Édouard Kassaraté étaient les chefs, respectifs des grands commandements de la police, de l’armée et de la gendarmerie nationale au moment des faits, Guillaume Soro cumulait les fonctions de Premier ministre et ministre de la défense.
Simone Gbagbo (68 ans), déjà sous le coup d’une condamnation à 20 ans de prison pour des faits d’atteinte à la sûreté de l’Etat, en 2015, est poursuivie devant la Cour d’Assises depuis le 31 mai 2016, pour ’’crimes contre l’humanité et crimes de guerre’’ lors de la crise postélectorale de décembre 2010 à avril 2011.
HS/ls/APA
Le président de la Cour, ayant constaté l’absence des ’’témoins listés’’ par la défense de l’accusée, Simone Gbagbo, a communiqué, séance tenante un calendrier de passage à la barre des témoins de la défense pour l’audition qui commence ’’le 7 novembre’’ avec huit témoins dont Aboubacar Koné, directeur du protocole d’Etat au moment des faits.
’’Les témoins dont nous demandons la comparution sont des témoins clés. Ils sont là pour la manifestation de la vérité. (...) Les Ivoiriens ont besoin de savoir ce qui s’est passé. Les acteurs de la crise sont là. M. Soro Guillaume qui a décrété la marche du 16 décembre 2010. M. Brindou M’bia est toujours en poste. Ils doivent expliquer ce qui s’est réellement passé ce jour-là’’, a insisté Me Blédé Dohoura.
Selon le calendrier établi par la Cour, ’’MM. Brindou M’bia, Jeannot Ahoussou Kouadio, Mangou Philippe, Kassaraté Édouard, Diby Koffi Charles et Soro Kigbafori Guillaume... ’’ Comparaitront pour leur témoignage le mercredi 16 novembre.
’’J’espère que tout sera mis en œuvre pour que ces personnes soient présentes aux dates indiquées’’, a dit le juge Boiqui promettant ’’d’aviser’’ si elles ne présenteraient pas’’.
Les généraux Brindou M’bia, Phillipe Mangou, Édouard Kassaraté étaient les chefs, respectifs des grands commandements de la police, de l’armée et de la gendarmerie nationale au moment des faits, Guillaume Soro cumulait les fonctions de Premier ministre et ministre de la défense.
Simone Gbagbo (68 ans), déjà sous le coup d’une condamnation à 20 ans de prison pour des faits d’atteinte à la sûreté de l’Etat, en 2015, est poursuivie devant la Cour d’Assises depuis le 31 mai 2016, pour ’’crimes contre l’humanité et crimes de guerre’’ lors de la crise postélectorale de décembre 2010 à avril 2011.
HS/ls/APA