Niakaramadougou - Le Collège moderne de Tafiré (Centre-nord, région du Hambol) vient d’être rebaptisé Lycée moderne Henriette Dagri-Diabaté, du nom de la Grande Chancelière de l’Ordre national.
La cérémonie de baptême s’est tenue samedi à Tafiré, en présence de la ministre de l’Éducation nationale et de plusieurs autorités de cette localité mais également celles de Jacqueville (Sud, région des Grands Ponts), deux villes jumelles.
Depuis la rentrée scolaire 2016-2017 effectuée en octobre, le Collège municipal de Tafiré a été dénommé Lycée moderne Henriette Dagri-Diabaté, mais la cérémonie officielle de baptême n’avait pas encore eu lieu.
Il s’agit de l’unique établissement secondaire de la localité depuis les années 80 qui accueille les élèves estimés à un peu plus de 2000 apprenants issus de la ville et des localités environnantes.
Selon le maire de Tafiré, Coulibaly Sounkalo, la Grande Chancelière a répondu favorablement à la requête du Conseil municipal visant à donner son nom à l’établissement. Un acte qui, a-t-il poursuivi, concrétise le jumelage de Jacqueville et Tafiré, scellé en novembre 2014.
La ministre de l’Education nationale, Kandia Camara, en sa qualité de présidente de la cérémonie, a exhorté les administrateurs, les encadreurs et les enseignants mais aussi les parents d’élève et surtout les élèves à faire de ce Lycée un modèle à l’image de la Grande Chancelière.
« À travers cette cérémonie solennelle, c’est l’Ecole ivoirienne qui s’octroie le privilège de vous compter parmi les figures nationales qui lui confèrent sa crédibilité. Ici à Tafiré, la somme de vos idéaux éclairera les jeunes âmes en construction », a-t-elle dit, s’adressant à la Grande Chancelière.
Cette dernière, émue de l’accueil du peuple Tagbana, s’est dite heureuse « d’apporter à Tafiré, le message de fraternité et de solidarité des hommes et des femmes de la ‘lagune et de la mer’ (Jacqueville, sa terre d’origine : ndlr) à leurs concitoyens et concitoyennes de la savane (Tafiré, ndlr)». Elle a souhaité que le jumelage Jacqueville-Tafiré soit un programme d’échanges effectifs entre les jeunes et les femmes des régions du Grands Ponts et du Hambol.
jbm/cmas
La cérémonie de baptême s’est tenue samedi à Tafiré, en présence de la ministre de l’Éducation nationale et de plusieurs autorités de cette localité mais également celles de Jacqueville (Sud, région des Grands Ponts), deux villes jumelles.
Depuis la rentrée scolaire 2016-2017 effectuée en octobre, le Collège municipal de Tafiré a été dénommé Lycée moderne Henriette Dagri-Diabaté, mais la cérémonie officielle de baptême n’avait pas encore eu lieu.
Il s’agit de l’unique établissement secondaire de la localité depuis les années 80 qui accueille les élèves estimés à un peu plus de 2000 apprenants issus de la ville et des localités environnantes.
Selon le maire de Tafiré, Coulibaly Sounkalo, la Grande Chancelière a répondu favorablement à la requête du Conseil municipal visant à donner son nom à l’établissement. Un acte qui, a-t-il poursuivi, concrétise le jumelage de Jacqueville et Tafiré, scellé en novembre 2014.
La ministre de l’Education nationale, Kandia Camara, en sa qualité de présidente de la cérémonie, a exhorté les administrateurs, les encadreurs et les enseignants mais aussi les parents d’élève et surtout les élèves à faire de ce Lycée un modèle à l’image de la Grande Chancelière.
« À travers cette cérémonie solennelle, c’est l’Ecole ivoirienne qui s’octroie le privilège de vous compter parmi les figures nationales qui lui confèrent sa crédibilité. Ici à Tafiré, la somme de vos idéaux éclairera les jeunes âmes en construction », a-t-elle dit, s’adressant à la Grande Chancelière.
Cette dernière, émue de l’accueil du peuple Tagbana, s’est dite heureuse « d’apporter à Tafiré, le message de fraternité et de solidarité des hommes et des femmes de la ‘lagune et de la mer’ (Jacqueville, sa terre d’origine : ndlr) à leurs concitoyens et concitoyennes de la savane (Tafiré, ndlr)». Elle a souhaité que le jumelage Jacqueville-Tafiré soit un programme d’échanges effectifs entre les jeunes et les femmes des régions du Grands Ponts et du Hambol.
jbm/cmas