Le ministre Sidi Touré a reçu en audience la directrice régionale d’Interpeace pour l’Afrique de l’Ouest, Anne Moltès, ce mardi 8 novembre 2016. Cette audience s’inscrit dans le cadre de la publication récente des résultats d’une recherche sur les trajectoires des jeunes dans une nouvelle forme de violence en Côte d’Ivoire et au Mali.
Les échanges ont porté sur les résultats de ces recherches. Il s’est agi d’explorer les pistes de collaboration entre la direction régionale d’Interpeace et le ministère de la Promotion de la Jeunesse, de l’Emploi des Jeunes et du Service Civique.
Le rapport a été présenté au public le mercredi 02 novembre 2016 à Bamako au Mali. Les enquêtes ont porté sur un échantillon de 700 personnes dans les deux pays. Notamment dans les régions de Gao et de Sikasso au Mali et en Côte d’Ivoire, dans la commune d’Abobo et la ville de Bouaké.
Selon ces résultats la tendance des jeunes vers la violence est le fruit du manque d’opportunités économiques, de la marginalisation politique, de la frustration et du chômage.
« Ces éléments sont des facteurs secondaires dans l’explication de la radicalisation et de l’extrémisme violent des jeunes », a expliqué Anne Moltès. Selon elle, les principaux facteurs sont la « reconnaissance sociale et le désir d’appartenir à un groupe ».
Cette étude mise à la disposition du grand public, permettra aux deux pays et aux communautés concernés de prévenir, d’atténuer et d’échapper aux nouvelles formes de violence des jeunes.
Les échanges ont porté sur les résultats de ces recherches. Il s’est agi d’explorer les pistes de collaboration entre la direction régionale d’Interpeace et le ministère de la Promotion de la Jeunesse, de l’Emploi des Jeunes et du Service Civique.
Le rapport a été présenté au public le mercredi 02 novembre 2016 à Bamako au Mali. Les enquêtes ont porté sur un échantillon de 700 personnes dans les deux pays. Notamment dans les régions de Gao et de Sikasso au Mali et en Côte d’Ivoire, dans la commune d’Abobo et la ville de Bouaké.
Selon ces résultats la tendance des jeunes vers la violence est le fruit du manque d’opportunités économiques, de la marginalisation politique, de la frustration et du chômage.
« Ces éléments sont des facteurs secondaires dans l’explication de la radicalisation et de l’extrémisme violent des jeunes », a expliqué Anne Moltès. Selon elle, les principaux facteurs sont la « reconnaissance sociale et le désir d’appartenir à un groupe ».
Cette étude mise à la disposition du grand public, permettra aux deux pays et aux communautés concernés de prévenir, d’atténuer et d’échapper aux nouvelles formes de violence des jeunes.