Primé meilleur Plaideur Africain Francophone en Afrique du Sud, Harouna Sawadogo a présenté son prix au ministre de la Promotion de la Jeunesse, de l’Emploi des Jeunes et du Service Civique.
A 21 ans, Harouna Sawadogo est étudiant en Licence 3 de droit privé à l’Université Felix Houphouët Boigny d’Abidjan-Cocody.
Du 3 au 8 octobre 2016, il a pris part à la 25e édition du Concours africain de procès simulé des Droits de l’Homme à l’Université de Pretoria, en Afrique du Sud. Sélectionné parmi 50 étudiants Ivoiriens présentés au départ, il a raflé le Prix du meilleur Plaideur dans la catégorie francophone.
Faire la promotion de la jeunesse, c’est le leitmotiv du ministre de la Promotion de la Jeunesse de l’Emploi des Jeunes et du Service Civique, Sidi Tiémoko Touré.
Pour lui, l’étudiant est une fierté nationale qui a besoin d’un suivi. Il l’a recommandé à la Commission Nationale des Droits de l’Homme de Côte d’Ivoire.
Pour rappel ce concours a été initié en 1992 par le Centre des droits de l’homme de l’Université de Pretoria. Il s’agit de sensibiliser les futurs leaders sur l’importance du respect des droits de l’homme.
Harouna n’est pas à son premier essai. Il a été finaliste au concours national de plaidoirie sur les droits de l’homme organisé par l’Association des Etudiant Juriste de Côte d’Ivoire (AEJCI), finaliste au concours nationale de juriste en herbe et finaliste au concours national de plaidoirie sur les droits de l’homme et le droit international humanitaire.
Le prix du meilleur plaideur africain francophone 2016, couronne son parcours de passionné de droit.
A 21 ans, Harouna Sawadogo est étudiant en Licence 3 de droit privé à l’Université Felix Houphouët Boigny d’Abidjan-Cocody.
Du 3 au 8 octobre 2016, il a pris part à la 25e édition du Concours africain de procès simulé des Droits de l’Homme à l’Université de Pretoria, en Afrique du Sud. Sélectionné parmi 50 étudiants Ivoiriens présentés au départ, il a raflé le Prix du meilleur Plaideur dans la catégorie francophone.
Faire la promotion de la jeunesse, c’est le leitmotiv du ministre de la Promotion de la Jeunesse de l’Emploi des Jeunes et du Service Civique, Sidi Tiémoko Touré.
Pour lui, l’étudiant est une fierté nationale qui a besoin d’un suivi. Il l’a recommandé à la Commission Nationale des Droits de l’Homme de Côte d’Ivoire.
Pour rappel ce concours a été initié en 1992 par le Centre des droits de l’homme de l’Université de Pretoria. Il s’agit de sensibiliser les futurs leaders sur l’importance du respect des droits de l’homme.
Harouna n’est pas à son premier essai. Il a été finaliste au concours national de plaidoirie sur les droits de l’homme organisé par l’Association des Etudiant Juriste de Côte d’Ivoire (AEJCI), finaliste au concours nationale de juriste en herbe et finaliste au concours national de plaidoirie sur les droits de l’homme et le droit international humanitaire.
Le prix du meilleur plaideur africain francophone 2016, couronne son parcours de passionné de droit.