L’Intersyndicale de l’enseignement préscolaire et primaire de Côte d’Ivoire (Isepp-CI), engagée depuis lundi dans une grève pour réclamer "le retrait du décret portant abattement des pensions de retraite, la bonification du point de l’indice salarial,…", a annoncé samedi à Abidjan, "la suspension de (son) mot d’ordre", à l’issue d’une négociation avec le gouvernement.
"La ministre (ivoirienne) de l’Education nationale (Kandia Camara) a appelé à une négociation ce jour, samedi 12 novembre 2016", a déclaré le porte-parole de l’Isepp-CI, David Bli Blé, se réjouissant que "des points ont été arrêtés", suite à des pourparlers, dans une déclaration télévisée.
M. Blé a énuméré "la mise en place d’un cadre de discussion qui va examiner toutes les questions inscrites dans le préavis de grève, hormis (…) le payement du stock des arriérés et le retrait de l’ordonnance (…) portant organisation des régimes des pensions (et) la désignation des membres de l’Isepp-CI qui doivent siéger dans le cadre des discussions".
Pour le porte-parole de l'Isepp-CI, c’est "sur la base de ces acquis", que cette fédération syndicale, dont fait partie le Mouvement des instituteurs pour la défense de leur droit (MIDD, principal syndicat de l’enseignement primaire public) a décidé de "suspendre (son) mot d’ordre de grève, devant courir du lundi 14 au vendredi 18 novembre", a-t-il indiqué, invitant "les enseignants à reprendre les cours le lundi 14 novembre".
Vendredi, Kandia Camara a menacé qu’"au cas où le débrayage reprendrait la semaine prochaine, le gouvernement fermera les écoles et les salaires des enseignants seront suspendus".
Un mouvement d’arrêt de travail que le chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara a jugé "totalement inadmissible", prévenant que "la loi sera appliquée de manière intégrale et sans exception" aux grévistes qui ne "suivent" pas, selon lui, "les procédures légales pour aller en grève".
En Côte d’Ivoire, depuis le 12 septembre, date de la rentrée scolaire 2016-2017, l’Ecole a connu des perturbations, dont celles liées au refus de certains enseignants du primaire public d’appliquer la réforme des cours de mercredi.
ATI
"La ministre (ivoirienne) de l’Education nationale (Kandia Camara) a appelé à une négociation ce jour, samedi 12 novembre 2016", a déclaré le porte-parole de l’Isepp-CI, David Bli Blé, se réjouissant que "des points ont été arrêtés", suite à des pourparlers, dans une déclaration télévisée.
M. Blé a énuméré "la mise en place d’un cadre de discussion qui va examiner toutes les questions inscrites dans le préavis de grève, hormis (…) le payement du stock des arriérés et le retrait de l’ordonnance (…) portant organisation des régimes des pensions (et) la désignation des membres de l’Isepp-CI qui doivent siéger dans le cadre des discussions".
Pour le porte-parole de l'Isepp-CI, c’est "sur la base de ces acquis", que cette fédération syndicale, dont fait partie le Mouvement des instituteurs pour la défense de leur droit (MIDD, principal syndicat de l’enseignement primaire public) a décidé de "suspendre (son) mot d’ordre de grève, devant courir du lundi 14 au vendredi 18 novembre", a-t-il indiqué, invitant "les enseignants à reprendre les cours le lundi 14 novembre".
Vendredi, Kandia Camara a menacé qu’"au cas où le débrayage reprendrait la semaine prochaine, le gouvernement fermera les écoles et les salaires des enseignants seront suspendus".
Un mouvement d’arrêt de travail que le chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara a jugé "totalement inadmissible", prévenant que "la loi sera appliquée de manière intégrale et sans exception" aux grévistes qui ne "suivent" pas, selon lui, "les procédures légales pour aller en grève".
En Côte d’Ivoire, depuis le 12 septembre, date de la rentrée scolaire 2016-2017, l’Ecole a connu des perturbations, dont celles liées au refus de certains enseignants du primaire public d’appliquer la réforme des cours de mercredi.
ATI