Conseil National des Jeunes de Côte d’Ivoire (CNJCI), c’est la nouvelle appellation. « Cette nouvelle dénomination cible exclusivement les jeunes de 16 à 35 ans » a expliqué le ministre Sidi Touré.
La communication sur la reprise du processus de mise en place du Conseil National des Jeunes de Côte d’Ivoire (CNJCI) a été adoptée en Conseil des Ministres le mercredi 09 novembre 2016. Il s’est agi pour le gouvernement de lever les divergences qui ont conduit à la suspension du processus depuis 2012, date de sa création.
Plusieurs changements ont été opérés dans le nouveau dispositif selon le ministre de la Promotion de la Jeunesse de l’Emploi des Jeunes et du Service Civique. Le CNJCI est désormais ouvert à toute organisation de jeunesse et est exclusivement réservé à la promotion du mouvement associatif.
La durée du mandat du Président est ramenée à un (1) an non renouvelable. « Il s’agit pour nous d’insuffler une dynamique d’exercice de la démocratie au sein du CNJCI », explique le Ministre Sidi Touré. Quand à l’âge d’éligibilité, il est compris dans la fourchette de 18 à 34 ans selon l’article 9. La représentation locale du CNJCI est assurée par les délégués élus.
Le mode opératoire de la mise en place se fera en trois phases. La première phase concerne la campagne d’information et de sensibilisation des acteurs impliqués dans le processus. Elle démarre le 5 décembre 2016. La deuxième phase concerne l’élection des délégués départementaux qui aura lieu du 20 au 25 décembre 2016.
La troisième phase est liée à l’organisation du congrès du CNJCI le 13 janvier 2016. Il sera procédé à cette occasion aux élections du Président et des commissaires aux comptes.
Les Conditions d’éligibilité
Pour être éligible au poste de Président du CNJCI, le candidat doit avoir été élu au préalable en qualité de délégué de Région. Il devra être âgé de 18 ans au moins et de 34 ans et être régulièrement inscrit dans une association de jeunesse depuis au moins 5 ans.
Le candidat doit avoir dirigé une association ou une fédération d’association de jeunesse pendant au moins 2 ans. Il ne doit jamais faire l’objet d’une condamnation pénale pour malversation ou détournement de fonds dans la gestion d’une association ou d’une fédération d’association.
La communication sur la reprise du processus de mise en place du Conseil National des Jeunes de Côte d’Ivoire (CNJCI) a été adoptée en Conseil des Ministres le mercredi 09 novembre 2016. Il s’est agi pour le gouvernement de lever les divergences qui ont conduit à la suspension du processus depuis 2012, date de sa création.
Plusieurs changements ont été opérés dans le nouveau dispositif selon le ministre de la Promotion de la Jeunesse de l’Emploi des Jeunes et du Service Civique. Le CNJCI est désormais ouvert à toute organisation de jeunesse et est exclusivement réservé à la promotion du mouvement associatif.
La durée du mandat du Président est ramenée à un (1) an non renouvelable. « Il s’agit pour nous d’insuffler une dynamique d’exercice de la démocratie au sein du CNJCI », explique le Ministre Sidi Touré. Quand à l’âge d’éligibilité, il est compris dans la fourchette de 18 à 34 ans selon l’article 9. La représentation locale du CNJCI est assurée par les délégués élus.
Le mode opératoire de la mise en place se fera en trois phases. La première phase concerne la campagne d’information et de sensibilisation des acteurs impliqués dans le processus. Elle démarre le 5 décembre 2016. La deuxième phase concerne l’élection des délégués départementaux qui aura lieu du 20 au 25 décembre 2016.
La troisième phase est liée à l’organisation du congrès du CNJCI le 13 janvier 2016. Il sera procédé à cette occasion aux élections du Président et des commissaires aux comptes.
Les Conditions d’éligibilité
Pour être éligible au poste de Président du CNJCI, le candidat doit avoir été élu au préalable en qualité de délégué de Région. Il devra être âgé de 18 ans au moins et de 34 ans et être régulièrement inscrit dans une association de jeunesse depuis au moins 5 ans.
Le candidat doit avoir dirigé une association ou une fédération d’association de jeunesse pendant au moins 2 ans. Il ne doit jamais faire l’objet d’une condamnation pénale pour malversation ou détournement de fonds dans la gestion d’une association ou d’une fédération d’association.