Le gouverneur du district autonome de Yamoussoukro (Centre), Augustin Thiam a invité lundi les députés ivoiriens de la nouvelle législature 2016-2020, en formation dans la capitale politique à "voter des lois qui feront évoluer la Côte d’Ivoire".
En "ma qualité d’ancien député de Yamoussoukro commune (je) m’autorise à vous souhaiter de nous voter de bonnes lois qui feront évoluer notre pays", a déclaré M. Thiam pour qui "le développement ne veut pas dire seulement construction d’infrastructures modernes" mais rime également avec "le vote des lois".
"Chacun et chacune de vous porte une étiquette politique", a rappelé le gouverneur aux élus, leur conseillant "de savoir s’élever au-dessus de ces appartenances" parce que devenus "désormais les représentants de tous les Ivoiriens, mêmes ceux qui n’ont pas voté pour (eux)".
Poursuivant, Augustin Thiam a dit aux 255 députés ivoiriens que "l’immunité parlementaire (dont) ils jouissent" de par leur rang, les "met à l’abri de poursuites judiciaires intempestives et d’arrestations arbitraires, mais pas au-dessus des lois, bien au contraire".
L'immunité "vous commande un comportement moralement irréprochable à tous les points de vue", a-t-il fait savoir.
La formation des députés ivoiriens à la prise de contact avec l’institution parlementaire financée par l’USAID (programme d'aide au développement des Etats-Unis) se tient du 06 au 10 février.
L’Assemblée nationale ivoirienne compte 255 députés, dont 167 issus du Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix (RHDP, coalition au pouvoir), six de l’Union pour la démocratie et la paix de Côte d’Ivoire (UDPCI, ex-mouvance présidentielle), trois chacun, pour le FPI et l’Union pour la paix en Côte d’Ivoire (UPCI, ex-mouvance présidentielle) et 76 indépendants.
Elle est chargée de voter des lois, de contrôler l’action du gouvernement et d’évaluer les politiques publiques. La nouvelle législature 2016-2020 est marquée par le bicaméralisme : un Parlement et un Sénat.
ATI
En "ma qualité d’ancien député de Yamoussoukro commune (je) m’autorise à vous souhaiter de nous voter de bonnes lois qui feront évoluer notre pays", a déclaré M. Thiam pour qui "le développement ne veut pas dire seulement construction d’infrastructures modernes" mais rime également avec "le vote des lois".
"Chacun et chacune de vous porte une étiquette politique", a rappelé le gouverneur aux élus, leur conseillant "de savoir s’élever au-dessus de ces appartenances" parce que devenus "désormais les représentants de tous les Ivoiriens, mêmes ceux qui n’ont pas voté pour (eux)".
Poursuivant, Augustin Thiam a dit aux 255 députés ivoiriens que "l’immunité parlementaire (dont) ils jouissent" de par leur rang, les "met à l’abri de poursuites judiciaires intempestives et d’arrestations arbitraires, mais pas au-dessus des lois, bien au contraire".
L'immunité "vous commande un comportement moralement irréprochable à tous les points de vue", a-t-il fait savoir.
La formation des députés ivoiriens à la prise de contact avec l’institution parlementaire financée par l’USAID (programme d'aide au développement des Etats-Unis) se tient du 06 au 10 février.
L’Assemblée nationale ivoirienne compte 255 députés, dont 167 issus du Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix (RHDP, coalition au pouvoir), six de l’Union pour la démocratie et la paix de Côte d’Ivoire (UDPCI, ex-mouvance présidentielle), trois chacun, pour le FPI et l’Union pour la paix en Côte d’Ivoire (UPCI, ex-mouvance présidentielle) et 76 indépendants.
Elle est chargée de voter des lois, de contrôler l’action du gouvernement et d’évaluer les politiques publiques. La nouvelle législature 2016-2020 est marquée par le bicaméralisme : un Parlement et un Sénat.
ATI