Divo – Les acteurs du monde éducatif de la sous-préfecture de Hiré ont participé jeudi à une séance de travail initiée par la direction régionale de l’éducation nationale, de l’enseignement technique et de la formation professionnelle (DREN-ETFP), en vue de « revisiter les consignes et directives de la ministre de l’éducation nationale, de l’enseignement technique et de la formation.
Le premier responsable de la DREN-ETFP, Touré Tiégbéma, a rappelé à ses collaborateurs les principaux leviers de la politique nationale de scolarisation obligatoire notamment l’accès à l’école et la qualité de l’enseignement, avant d’expliquer l’importance des cours du mercredi.
« Il faut renforcer le temps d’étude nos enfants, cela participe de la qualité de la formation de base. En la matière, nous accusons un retard par rapport à certains pays de la sous-région », a affirmé M. Touré. Il a souligné que les cours de mercredi sont une déclinaison de la politique de la scolarisation obligatoire.
« L’Etat a fait beaucoup pour l’école et nous devons établir une équation entre les efforts fournis par l’Etat et les résultats car les normes de qualité édictées par l’Unesco exigent un taux de réussite de 80%», a-t-il poursuivi.
Le premier responsable régional de l’éducation nationale a exhorté ses collaborateurs au respect de la hiérarchie et à une conscience professionnelle aiguë afin de jouer pleinement le rôle que la société leur a confié.
gso/cmas
Le premier responsable de la DREN-ETFP, Touré Tiégbéma, a rappelé à ses collaborateurs les principaux leviers de la politique nationale de scolarisation obligatoire notamment l’accès à l’école et la qualité de l’enseignement, avant d’expliquer l’importance des cours du mercredi.
« Il faut renforcer le temps d’étude nos enfants, cela participe de la qualité de la formation de base. En la matière, nous accusons un retard par rapport à certains pays de la sous-région », a affirmé M. Touré. Il a souligné que les cours de mercredi sont une déclinaison de la politique de la scolarisation obligatoire.
« L’Etat a fait beaucoup pour l’école et nous devons établir une équation entre les efforts fournis par l’Etat et les résultats car les normes de qualité édictées par l’Unesco exigent un taux de réussite de 80%», a-t-il poursuivi.
Le premier responsable régional de l’éducation nationale a exhorté ses collaborateurs au respect de la hiérarchie et à une conscience professionnelle aiguë afin de jouer pleinement le rôle que la société leur a confié.
gso/cmas