Tabou - Des élèves du lycée moderne Barou Adjéhi Valentin de Tabou ont déclenché, jeudi matin, un mouvement de grève qui a conduit à un arrêt des cours pour protester contre la pénurie d’enseignants, les effectifs pléthoriques, l’absence de cantine et de bibliothèque, les droits du COGES « élevés » et « le refus des autorités d’instaurer le syndicalisme » au sein de leur établissement.
« Il faut que le syndicalisme soit réinstauré à l’école parce que nous avons des droits. Et puis nous jugeons les frais de COGES qui s’élèvent à 5000 FCFA trop élevés. Il faut ajouter à cela les droits des visites médicales qui sont passés de 300 à 1000 F CFA et les paquets de rames qu’on impose aux élèves des niveaux sixième à la seconde », ont expliqué les élèves grévistes lors d’un meeting dans la cour du lycée, avant de se déployer dans les autres établissements secondaires et primaires pour en déloger leurs camardes.
Cette grève des élèves a perturbé pendant quelques heures la circulation dans la ville de Tabou. Le calme est revenu vers onze heures mais les établissements secondaires et primaires publics et privés de la localité sont restés fermés.
(AIP)
bb/aaa/kam
« Il faut que le syndicalisme soit réinstauré à l’école parce que nous avons des droits. Et puis nous jugeons les frais de COGES qui s’élèvent à 5000 FCFA trop élevés. Il faut ajouter à cela les droits des visites médicales qui sont passés de 300 à 1000 F CFA et les paquets de rames qu’on impose aux élèves des niveaux sixième à la seconde », ont expliqué les élèves grévistes lors d’un meeting dans la cour du lycée, avant de se déployer dans les autres établissements secondaires et primaires pour en déloger leurs camardes.
Cette grève des élèves a perturbé pendant quelques heures la circulation dans la ville de Tabou. Le calme est revenu vers onze heures mais les établissements secondaires et primaires publics et privés de la localité sont restés fermés.
(AIP)
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