« Exister par le ‘’Gbonhi ‘’: engagement des adolescents et jeunes dits ‘’microbes’’ dans la violence à Abobo ». C’est le titre du rapport et du film documentaire présenté par Interpeace et l’ONG Indigo Côte d’Ivoire ce lundi 20 février 2017 à l’Institut Goethe d’Abidjan.
Cette initiative consiste à donner une compréhension suffisante du phénomène afin d’y apporter une réponse efficace, selon Me Anne Moltes, Directrice régionale d’Interpeace pour l’Afrique de l’Ouest.
Ce rapport adressé aux autorités locales et décideurs internationaux lève un coin de voile sur un phénomène qui mine nos villes et de plus en plus le milieu rural. Il s’agit des jeunes en conflit avec la loi. Ce rapport souhaite engager une réflexion plus approfondie permettant de dépasser les idées reçues.
« Des recommandations opérationnelles ont été formulées dans le rapport à l’endroit des acteurs concernés en vue d’une réponse globale et intégrée », précise Mme Moltes.
Pour elle, il est nécessaire de développer une stratégie cohérente pour traiter les différentes sources du phénomène. La réponse ne doit être ni sectorielle ni portée par un acteur unique. Une synergie d’actions basée sur une compréhension des dynamiques sociales entre les initiatives peut permettre de générer un véritable impact sur le terrain.
Tout en félicitant les initiateurs du rapport, le ministre Sidi Touré a rappelé les efforts faits par le gouvernement pour endiguer le phénomène. Quant au ministère de la Promotion de la Jeunesse, de l’Emploi des Jeunes et du Service Civique, il se positionne dans une dynamique d’anticipation et de prévention, selon le ministre Sidi Touré.
« Notre département promeut les appuis aux jeunes pour assurer leur protection, renforcer les notions de civisme et de citoyenneté à leur endroit et assurer la resocialisation des plus vulnérables en voie de marginalisation », a expliqué le ministre Sidi Touré.
L’étude a été faite dans la commune d’Abobo située dans le district d’Abidjan.
Cette initiative consiste à donner une compréhension suffisante du phénomène afin d’y apporter une réponse efficace, selon Me Anne Moltes, Directrice régionale d’Interpeace pour l’Afrique de l’Ouest.
Ce rapport adressé aux autorités locales et décideurs internationaux lève un coin de voile sur un phénomène qui mine nos villes et de plus en plus le milieu rural. Il s’agit des jeunes en conflit avec la loi. Ce rapport souhaite engager une réflexion plus approfondie permettant de dépasser les idées reçues.
« Des recommandations opérationnelles ont été formulées dans le rapport à l’endroit des acteurs concernés en vue d’une réponse globale et intégrée », précise Mme Moltes.
Pour elle, il est nécessaire de développer une stratégie cohérente pour traiter les différentes sources du phénomène. La réponse ne doit être ni sectorielle ni portée par un acteur unique. Une synergie d’actions basée sur une compréhension des dynamiques sociales entre les initiatives peut permettre de générer un véritable impact sur le terrain.
Tout en félicitant les initiateurs du rapport, le ministre Sidi Touré a rappelé les efforts faits par le gouvernement pour endiguer le phénomène. Quant au ministère de la Promotion de la Jeunesse, de l’Emploi des Jeunes et du Service Civique, il se positionne dans une dynamique d’anticipation et de prévention, selon le ministre Sidi Touré.
« Notre département promeut les appuis aux jeunes pour assurer leur protection, renforcer les notions de civisme et de citoyenneté à leur endroit et assurer la resocialisation des plus vulnérables en voie de marginalisation », a expliqué le ministre Sidi Touré.
L’étude a été faite dans la commune d’Abobo située dans le district d’Abidjan.