Attirer l’attention collective et individuelle sur les risques liés à l’usage abusif de la drogue et l’alcool par les jeunes, et les dangers auxquels ils s’exposent. Telle est la mission du Ministre Sidi Tiémoko Touré en initiant la campagne nationale de communication pour le changement de comportement chez les jeunes.
Ce jeudi 23 mars 2017 à l’héliport de Jacqueville, madame la Grande Chancelière de Côte d’Ivoire Henriette Dagri-DIABATE, la marraine de la ceremonie, a procédé au lancement officiel de ladite campagne dénommée « Jeune attention !!! La drogue te détruit et l’alcool c’est pas cool ». La campagne ambitionne de toucher 300 000 jeunes pour l’année 2017.
444 fumoirs ont été détruits et 1707 personnes ont été déférées devant les juridictions pour des faits liés à la drogue en 2015 dont des jeunes pour la plupart, selon le Comité Interministériel de Lutte contre la Drogue (CILAD).
Pour l’année 2016, ce sont des chiffres non exhaustifs que Monsieur YAO Kouakou Ronsard représentant le CILAD a livré. Plus de 2 tonnes de cannabis en une seule prise à Cocody St Viateur, plus de 30 kilogrammes de cocaïne pris par la douane au Port d’Abidjan, plus de 6 tonnes pris en Bolivie en partance de la Côte d’Ivoire.
Face à ce tableau sombre et les conséquences douloureuses dressées, la Grande Chancelière a résumé son cri de cœur aux jeunes en ces termes : « beaucoup de choses vous sont permises, certes, mais tout ne vous est pas utile ».
Pour elle, les jeunes sont l’avenir, la force et l’énergie sociale de demain. Leur santé physique et mentale est primordiale.
A cet effet « des activités de protection primaire ou de veille préventive seront déployées » dans tous les quartiers, selon le Ministre Sidi Touré. Il a surtout justifié le choix de la cité des Grands Ponts pour le démarrage de cette activité nationale.
« Jacqueville est un nouveau pôle de divertissement et d’attraction des jeunes qui s’y retrouvent par grands groupes pour s’adonner à divers comportements à risques », a indiqué Sidi Touré.
La campagne se poursuivra dans plusieurs villes de la Côte d’Ivoire. Des éducateurs assureront diverses prestations au moyen des cliniques mobiles, d’éthylotests et de tests de dépistage. Des conférences sur l’alcoolisme et la toxicomanie, leurs effets et conséquences seront débattus de fond en comble
Ce jeudi 23 mars 2017 à l’héliport de Jacqueville, madame la Grande Chancelière de Côte d’Ivoire Henriette Dagri-DIABATE, la marraine de la ceremonie, a procédé au lancement officiel de ladite campagne dénommée « Jeune attention !!! La drogue te détruit et l’alcool c’est pas cool ». La campagne ambitionne de toucher 300 000 jeunes pour l’année 2017.
444 fumoirs ont été détruits et 1707 personnes ont été déférées devant les juridictions pour des faits liés à la drogue en 2015 dont des jeunes pour la plupart, selon le Comité Interministériel de Lutte contre la Drogue (CILAD).
Pour l’année 2016, ce sont des chiffres non exhaustifs que Monsieur YAO Kouakou Ronsard représentant le CILAD a livré. Plus de 2 tonnes de cannabis en une seule prise à Cocody St Viateur, plus de 30 kilogrammes de cocaïne pris par la douane au Port d’Abidjan, plus de 6 tonnes pris en Bolivie en partance de la Côte d’Ivoire.
Face à ce tableau sombre et les conséquences douloureuses dressées, la Grande Chancelière a résumé son cri de cœur aux jeunes en ces termes : « beaucoup de choses vous sont permises, certes, mais tout ne vous est pas utile ».
Pour elle, les jeunes sont l’avenir, la force et l’énergie sociale de demain. Leur santé physique et mentale est primordiale.
A cet effet « des activités de protection primaire ou de veille préventive seront déployées » dans tous les quartiers, selon le Ministre Sidi Touré. Il a surtout justifié le choix de la cité des Grands Ponts pour le démarrage de cette activité nationale.
« Jacqueville est un nouveau pôle de divertissement et d’attraction des jeunes qui s’y retrouvent par grands groupes pour s’adonner à divers comportements à risques », a indiqué Sidi Touré.
La campagne se poursuivra dans plusieurs villes de la Côte d’Ivoire. Des éducateurs assureront diverses prestations au moyen des cliniques mobiles, d’éthylotests et de tests de dépistage. Des conférences sur l’alcoolisme et la toxicomanie, leurs effets et conséquences seront débattus de fond en comble