Abidjan-La 10éme édition du Festival des musiques urbaines d’Anoumambo (FEMUA) a ouvert ses portes mardi, à Anoumambo, dans la commune de Marcory, à Abidjan, en présence de plusieurs personnalités politiques et culturelles.
Placée sous le thème "L’Afrique face aux défis du réchauffement climatique", la cérémonie d’ouverture de l’acte 10 du FEMUA a connu plusieurs intervenants dont le ministre de la Culture et de la francophonie, Maurice Kouakou Bandama pour qui, le FEMUA est un festival populaire et intégrateur. Il s’est réjoui que le thème de cette édition porte sur l’environnement tout en évoquant la capacité qu’a la musique d’apporter des changements et d’amener à l’adoption d’attitudes citoyennes et responsables
La ministre de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement Durable, Anne Désirée Ouloto, lui emboitant le pas, a évoqué les conséquences du réchauffement climatique en Afrique et s’est réjouie que le FEMUA soit devenu également un espace de réflexion et de sensibilisation sur ce phénomène.
Dans un message vidéo, la directrice générale de l’UNESCO, Irina Bocova, par ailleurs marraine de cette édition, estime que le FEMUA est "une promesse de musique pour tous , de culture pour tous". Il a remercié l’ambassadeur de bonne volonté de l’UNESCO, A’salfo de tenir cette promesse depuis 10 ans estimant que "les mélodies peuvent transmettre des traditions musicales qui sont une partie essentielle de notre dignité de notre identité et donc de notre avenir".
Pour le commissaire Général du FEMUA, Traoré Salif dit Asalfo, l’Afrique peut compter sur le FEMUA pour se faire entendre, le festival étant devenu l’un "des meilleurs événements culturels en Afrique et au monde."
Le FEMUA, qui s’est habitué à investir dans l’éducation et le social, construira cette année encore deux écoles primaires dont l’une à Odienné et l’autre à Bayékou-Bassi, à Ouragahio et un centre de santé à Loulo à M’bengué auquel il faut ajouter un logement social.
Le programme musical qui sera déroulé pendant ce FEMUA 10 constitue l’un des plus alléchants car offrant aux mélomanes de grosses pointures de la musique africaine et mondiale dont Salif Kéita (Mali), Singuila (France), Black M (France), Tiken Jah de Fakoly (RCI) à coté de bien d’autres dont Maréma (Sénégal), Monique Séka (RCI), Bissa Kdei (Ghana), Yabongo (RCI), DJ Léo (RCI), Révolution (RCI), Kruman Group orchestra (RCI), Soul Bang’s (Guinée Conakry). La ville d’Adiaké (sud région du Sud-Comoé) a été choisie pour abriter le concert final du festival qui aura lieu du 25 au 30 avril, indique-t-on.
C’est en 2008 que commence l’aventure du FEMUA par la volonté des membres du groupe Magic System d’offrir gratuitement un spectacle avec les plus grandes stars au village qui les a vu naitre, Anoumambo, point de départ de leur succès, rappelle-t-on
akn/fmo
Placée sous le thème "L’Afrique face aux défis du réchauffement climatique", la cérémonie d’ouverture de l’acte 10 du FEMUA a connu plusieurs intervenants dont le ministre de la Culture et de la francophonie, Maurice Kouakou Bandama pour qui, le FEMUA est un festival populaire et intégrateur. Il s’est réjoui que le thème de cette édition porte sur l’environnement tout en évoquant la capacité qu’a la musique d’apporter des changements et d’amener à l’adoption d’attitudes citoyennes et responsables
La ministre de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement Durable, Anne Désirée Ouloto, lui emboitant le pas, a évoqué les conséquences du réchauffement climatique en Afrique et s’est réjouie que le FEMUA soit devenu également un espace de réflexion et de sensibilisation sur ce phénomène.
Dans un message vidéo, la directrice générale de l’UNESCO, Irina Bocova, par ailleurs marraine de cette édition, estime que le FEMUA est "une promesse de musique pour tous , de culture pour tous". Il a remercié l’ambassadeur de bonne volonté de l’UNESCO, A’salfo de tenir cette promesse depuis 10 ans estimant que "les mélodies peuvent transmettre des traditions musicales qui sont une partie essentielle de notre dignité de notre identité et donc de notre avenir".
Pour le commissaire Général du FEMUA, Traoré Salif dit Asalfo, l’Afrique peut compter sur le FEMUA pour se faire entendre, le festival étant devenu l’un "des meilleurs événements culturels en Afrique et au monde."
Le FEMUA, qui s’est habitué à investir dans l’éducation et le social, construira cette année encore deux écoles primaires dont l’une à Odienné et l’autre à Bayékou-Bassi, à Ouragahio et un centre de santé à Loulo à M’bengué auquel il faut ajouter un logement social.
Le programme musical qui sera déroulé pendant ce FEMUA 10 constitue l’un des plus alléchants car offrant aux mélomanes de grosses pointures de la musique africaine et mondiale dont Salif Kéita (Mali), Singuila (France), Black M (France), Tiken Jah de Fakoly (RCI) à coté de bien d’autres dont Maréma (Sénégal), Monique Séka (RCI), Bissa Kdei (Ghana), Yabongo (RCI), DJ Léo (RCI), Révolution (RCI), Kruman Group orchestra (RCI), Soul Bang’s (Guinée Conakry). La ville d’Adiaké (sud région du Sud-Comoé) a été choisie pour abriter le concert final du festival qui aura lieu du 25 au 30 avril, indique-t-on.
C’est en 2008 que commence l’aventure du FEMUA par la volonté des membres du groupe Magic System d’offrir gratuitement un spectacle avec les plus grandes stars au village qui les a vu naitre, Anoumambo, point de départ de leur succès, rappelle-t-on
akn/fmo