La grande scène du Festival des musiques urbaines d’Anoumabo (FEMUA) a enregistré dans la nuit de vendredi à samedi la star malienne Salif Kéïta et le français Singuila qui ont presté en symbiose avec le public abidjanais, a constaté APA sur place dans la capitale économique.
L’artiste malien Salif Kéïta et le français Singuila d’origine centrafricaine par son père et congolaise par la mère ont presté devant de nombreux fans qui ont effectué le déplacement à la place Papa Wemba d’Anoumabo, située dans la commune de Marcory (Sud d’Abidjan).
Ces artistes ont revisité leur riche répertoire discographique en chant des titres phares repris en chœur par les mélomanes. «J’ai la chance d’être ici. Le FEMUA, c’est un bel exemple », a salué le « Rossignol » très ovationné par un public en majorité jeune, qui a dit « merci au nom des enfants », à A’Salfo et les membres de son groupe, Magic System.
Auparavant, la sénégalaise Marema Fall a gratifié le public avec un hommage à Papa Wemba.« Je remercie le FEMUA de nous avoir convié à cet événement important », a salué très reconnaissante l’artiste auteure de « femmes d’affaires ».
Tiken Jah de Fakoly (Côte d’Ivoire), Black M. (France) , Bissa Kdei (Ghana) sont attendus à Anoumabo, dans la nuit de samedi à dimanche.
Projet immense et évolutif, le FEMUA a vu le jour en 2008 à l’initiative de Salif Traoré, lead vocal du groupe Magic System. Cet événement à caractère social et culturel a été créé pour permettre aux populations les plus démunies et qui n’ont souvent pas les moyens de s’offrir un ticket de concert, de réaliser leurs rêves en recevant sur une même scène dans leur environnement, les plus grosses stars de la planète.
Le FEMUA qui se définit comme un des plus grands festivals de l’Afrique subsaharienne, se tient tous les ans dans une ville cosmopolite. Sa programmation artistique symbolise l’intégration. C’est également le témoignage d’une reconnaissance au quartier qui a vu naître les membres du groupe Magic System et de permettre à travers ce festival de poser des actions sociales au profit des populations ivoiriennes et africaines.
En outre, le FEMUA est un facteur de développement par ses actions sociales. Ainsi donc depuis sa création à ce jour, il compte à son actif la réhabilitation et l’équipement d’hôpitaux, d’orphelinats, de pouponnières, des dons aux réfugiés ainsi que la construction de plusieurs écoles primaires et maternelles offertes à l’Etat de Côte d’Ivoire.
Cette édition 2017 du FEMUA sera marquée par la construction de deux écoles, l’une à Gagnoa (Centre-Ouest) et l’autre à Odienné (Nord-Ouest) ainsi qu’un Centre de santé à M’bengué dans l’extrême Nord ivoirien.
SY/lsAPA
L’artiste malien Salif Kéïta et le français Singuila d’origine centrafricaine par son père et congolaise par la mère ont presté devant de nombreux fans qui ont effectué le déplacement à la place Papa Wemba d’Anoumabo, située dans la commune de Marcory (Sud d’Abidjan).
Ces artistes ont revisité leur riche répertoire discographique en chant des titres phares repris en chœur par les mélomanes. «J’ai la chance d’être ici. Le FEMUA, c’est un bel exemple », a salué le « Rossignol » très ovationné par un public en majorité jeune, qui a dit « merci au nom des enfants », à A’Salfo et les membres de son groupe, Magic System.
Auparavant, la sénégalaise Marema Fall a gratifié le public avec un hommage à Papa Wemba.« Je remercie le FEMUA de nous avoir convié à cet événement important », a salué très reconnaissante l’artiste auteure de « femmes d’affaires ».
Tiken Jah de Fakoly (Côte d’Ivoire), Black M. (France) , Bissa Kdei (Ghana) sont attendus à Anoumabo, dans la nuit de samedi à dimanche.
Projet immense et évolutif, le FEMUA a vu le jour en 2008 à l’initiative de Salif Traoré, lead vocal du groupe Magic System. Cet événement à caractère social et culturel a été créé pour permettre aux populations les plus démunies et qui n’ont souvent pas les moyens de s’offrir un ticket de concert, de réaliser leurs rêves en recevant sur une même scène dans leur environnement, les plus grosses stars de la planète.
Le FEMUA qui se définit comme un des plus grands festivals de l’Afrique subsaharienne, se tient tous les ans dans une ville cosmopolite. Sa programmation artistique symbolise l’intégration. C’est également le témoignage d’une reconnaissance au quartier qui a vu naître les membres du groupe Magic System et de permettre à travers ce festival de poser des actions sociales au profit des populations ivoiriennes et africaines.
En outre, le FEMUA est un facteur de développement par ses actions sociales. Ainsi donc depuis sa création à ce jour, il compte à son actif la réhabilitation et l’équipement d’hôpitaux, d’orphelinats, de pouponnières, des dons aux réfugiés ainsi que la construction de plusieurs écoles primaires et maternelles offertes à l’Etat de Côte d’Ivoire.
Cette édition 2017 du FEMUA sera marquée par la construction de deux écoles, l’une à Gagnoa (Centre-Ouest) et l’autre à Odienné (Nord-Ouest) ainsi qu’un Centre de santé à M’bengué dans l’extrême Nord ivoirien.
SY/lsAPA