C’est peu de dire que notre couverture de la semaine dernière intitulée « Guillaume Soro, une énigme ivoirienne » (voir JA n° 2943) n’a pas laissé les Ivoiriens indifférents.
Beaucoup nous ont remerciés d’avoir dit tout haut ce que la plupart pensent tout bas et d’avoir rappelé ce principe fondamental : justice équitable et quête de la vérité concernent tout le monde, du citoyen lambda au dépositaire des plus hautes fonctions. D’autres, qui comptent manifestement parmi les supporters béats du président de l’Assemblée nationale, n’ont que très modérément apprécié « Docteur Guillaume et Mister Soro », l’éditorial rédigé par l’auteur de ces lignes. Inutile de revenir ici sur les « amabilités » qu’ils nous ont adressées. Ni sur les... suite de l'article sur Jeune Afrique
Beaucoup nous ont remerciés d’avoir dit tout haut ce que la plupart pensent tout bas et d’avoir rappelé ce principe fondamental : justice équitable et quête de la vérité concernent tout le monde, du citoyen lambda au dépositaire des plus hautes fonctions. D’autres, qui comptent manifestement parmi les supporters béats du président de l’Assemblée nationale, n’ont que très modérément apprécié « Docteur Guillaume et Mister Soro », l’éditorial rédigé par l’auteur de ces lignes. Inutile de revenir ici sur les « amabilités » qu’ils nous ont adressées. Ni sur les... suite de l'article sur Jeune Afrique